bonjour je suis une demoiselle (sans rancune tu ne pouvais pas le savoir).
J'estime qu'il n'est pas bien de s'unir à son beau frere juste pour que les enfants ne soient pas éléver par un tiers. Jpense qu'il n'est pas question d'amour puisque nous parents ne se marié pas par amour à leur époque (certaine ne connaissait mm pas leur époux avant le mariage) mais plutot de coutume qu'il pratique sans se poser de question. ton mari meurt tu est destiner à son petit frére un point c'est tout.
C'est peut etre mon éducation de "francais noir" qui me fait dire sa mais je trouve cette coutume limite sale (désoler si je blesse quelqu'un).
Je pense aussi que cette coutume va se perdre avec notree génération.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
je n'approuve absolument pas cette pratique,
cependant elle est bien décrite dans le Coran,
j'ai pas la référence exacte mais elle n'est pas interdite ........
salam?
je ne sais pas ce que j'aurais fait dans cette situation mais ma mere y a étè confronté puis elle a choisit de ne pas aller avec son beau frere (mon oncle) c'est vrai que c'est compliquer. ce n'est pas pour sa qu'ils ne sont plus mes oncles
Et dieu créa la femme...
Au fait, il ne s'agit pas seulement d'approuver cette pratique ou de la désapprouver, il s'agit plutôt de discuter de tous les enjeux qui font que les Soninkés y ont recours. C'est là où se situe tout l'intérêt du débat.
Après ce n'est pas une obligation de se soumettre à cette pratique. Elle a toujours été consensuelle. Quand une partie n'est pas d'accord, elle n'a pas lieu, du moins les choses se passent de cette façon dans mon Fouta Toro natal.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Je pense pour ma part qu'il s'agit là d'une coutume née d'une époque où les femmes ne travaillaient pas et ne pouvaient donc pas subvenir aux besoins de la famille en cas du décès du mari. A notre époque les choses évoluent et nombre de femmes sont maintenant capables d'assurer (tout ou partie) l'existence de leur famille.
Une personne disait qu"elle trouvait la pratique du lévirat "sale" je pense que le terme était mal choisi mais je comprends et partage sa répugnance.
J'aurais (à tort bien sur) l'impression de pratiquer un inceste ...
Que la femme soir remariée ou non celà n'empèche en rien de garder des relations étroites avec ses tantes, oncles, cousines et cousins ...
Une expression m"a choquée dans une des interventions " il ne faut pas que les enfants servent à une autre famille" ... les enfants ne sont pas des biens à utiliser ou à partager ... ! Bizarre cette façon de les considérer ...
Pour moi les enfants sont des personnes à choyer, éduquer, mon rôle est de les amener à l'àge adulte pour qu'ils puissent créer leur propre famille.
Ils ne sont pas là pour me servir de "bâton de vieillesse", ce qui n'empèche pas les liens constants d'amour, de respect et d'entre-aide.
J'espère ne choquer personne par mes propos mais les conditions de vie évoluent rapidement de nos jours battant en brèche les coutumes, ajoutez à celà les différences culturelles ...
Un vieux sujet autour du lévirat
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