L'augmentation et la réduction du temps de sommeil autour de sept heures ont tous deux été associés à un risque cardiaque accru.
Pas plus, pas moins. Pour éviter l'infarctus il faudrait dormir pile sept heures par nuit, affirme une étude américaine publiée ce dimanche 1er août dans la revue Sleep.
Dormir moins de cinq heures, siestes incluses, fait plus que doubler les chances de développer des angines, des insuffisances coronariennes ou de faire un infarctus, montre cette étude menée par la faculté de médecine de l'université de Virginie-Occidentale.
Halte aux grasses-matinées
Plus surprenant peut-être, dormir régulièrement plus de neuf heures augmenterait également les risques de maladies cardiovasculaires, affirment les chercheurs. Un risque multiplié par 1,5 par rapport au chiffre magique de sept heures de sommeil.
Pas plus, pas moins. Pour éviter l'infarctus il faudrait dormir pile sept heures par nuit, affirme une étude américaine publiée ce dimanche 1er août dans la revue Sleep.
Dormir moins de cinq heures, siestes incluses, fait plus que doubler les chances de développer des angines, des insuffisances coronariennes ou de faire un infarctus, montre cette étude menée par la faculté de médecine de l'université de Virginie-Occidentale.
Halte aux grasses-matinées
Plus surprenant peut-être, dormir régulièrement plus de neuf heures augmenterait également les risques de maladies cardiovasculaires, affirment les chercheurs. Un risque multiplié par 1,5 par rapport au chiffre magique de sept heures de sommeil.
Les moins de de 60 ans dormant moins de cinq heures par nuit seraient les plus exposés: le risque de contracter une maladie cardiovasculaire apparaît plus que triplé pour ce groupe, comparé aux personnes qui dorment sept heures.
Dormir six ou huit heures n'augmente par contre que légèrement ces mêmes risques.
Le sommeil affecte le métabolisme
Les chercheurs ne sont toutefois pas encore en mesure d'expliquer les raisons scientifiques d'un lien entre maladie cardiovasculaire et temps de sommeil.
On sait toutefois que les excès de sommeil affectent les glandes endocrines et les fonctions métaboliques, tandis que les privations de sommeil pouvent conduire à un affaiblissement de la tolérance au glucose, une sensibilité réduite à l'insuline, ou à une augmentation de la pression artérielle. Autant d'éléments qui augmentent le risque de boucher les artères.
Source : http://www.lexpress.fr/
Dormir six ou huit heures n'augmente par contre que légèrement ces mêmes risques.
Le sommeil affecte le métabolisme
Les chercheurs ne sont toutefois pas encore en mesure d'expliquer les raisons scientifiques d'un lien entre maladie cardiovasculaire et temps de sommeil.
On sait toutefois que les excès de sommeil affectent les glandes endocrines et les fonctions métaboliques, tandis que les privations de sommeil pouvent conduire à un affaiblissement de la tolérance au glucose, une sensibilité réduite à l'insuline, ou à une augmentation de la pression artérielle. Autant d'éléments qui augmentent le risque de boucher les artères.
Source : http://www.lexpress.fr/