RAPPEL HISTORIQUE :
Jadis villes de richesse, de gloire de religion et de paix avant, pendant et même quelques siècle après le commerce transsaharien des le début du septième siècle (installation des ZA venus de l’Arabie pour s’installer à Koukia, puis à Gao en 750), du fait des arabo-berbères venant de l’est et/ou du nord du continent noir pour l’échange naturel entre leurs beaux tissus, encens et produits de beauté contre les différents produits comme le sel, l’or, la kola en abondance entre autres dans les villes comme, Djenné, Gao et Tombouctou, ces villes ont connu depuis le seizième siècle (invasion marocaine, banditisme, guerre fratricide et enlevellement) ce genre d’insécurité par la complicité des états rivaux voisins de l’époque.
Ces rebellions ou banditismes auraient pour origine le refus des populations du nord-est en général, et en particulier celles de Tombouctou de payer des rentes ou impôts divers aux arabo-berbères grâce à l’intervention de l’empereur Soni Ali Ber en 1468, mais en la faveur du déclin de l’empire Songhay sous certains ASKIA ces actes ont repris créant ainsi guerres fratricides pour le pouvoir, déchirement du tissu social et bouleversement total de la hiérarchie socio-économique de l’espace Songhay en dehors de sa partie dite du Dendi ou second empire de la deuxième dynastie des ASKIA entre Wanzarba et Anzourou (le sud de Gao, l’ouest du Niger, le nord du Burkina, le nord du Bénin et le nord est du Nigéria : zones des populations Zarma-songhay, Gourmanché, Dendi, Bariba et Yoruba).
Jadis villes de richesse, de gloire de religion et de paix avant, pendant et même quelques siècle après le commerce transsaharien des le début du septième siècle (installation des ZA venus de l’Arabie pour s’installer à Koukia, puis à Gao en 750), du fait des arabo-berbères venant de l’est et/ou du nord du continent noir pour l’échange naturel entre leurs beaux tissus, encens et produits de beauté contre les différents produits comme le sel, l’or, la kola en abondance entre autres dans les villes comme, Djenné, Gao et Tombouctou, ces villes ont connu depuis le seizième siècle (invasion marocaine, banditisme, guerre fratricide et enlevellement) ce genre d’insécurité par la complicité des états rivaux voisins de l’époque.
Ces rebellions ou banditismes auraient pour origine le refus des populations du nord-est en général, et en particulier celles de Tombouctou de payer des rentes ou impôts divers aux arabo-berbères grâce à l’intervention de l’empereur Soni Ali Ber en 1468, mais en la faveur du déclin de l’empire Songhay sous certains ASKIA ces actes ont repris créant ainsi guerres fratricides pour le pouvoir, déchirement du tissu social et bouleversement total de la hiérarchie socio-économique de l’espace Songhay en dehors de sa partie dite du Dendi ou second empire de la deuxième dynastie des ASKIA entre Wanzarba et Anzourou (le sud de Gao, l’ouest du Niger, le nord du Burkina, le nord du Bénin et le nord est du Nigéria : zones des populations Zarma-songhay, Gourmanché, Dendi, Bariba et Yoruba).
Déjà durant ces périodes les habitants de ces régions grâce à la puissance militaire, économique et socioculturelle de leurs souverains respectifs avaient tissé des relations avec l’est, le nord et l’ouest (à savoir avec comme par exemple les andalous, les turques et les égyptiens dès le 9ème siècle).
Aussi, tous les souverains de l’époque pour faire régner la paix et la cohésion sociale n’avaient ils pas d’épouses : songhay, soninké, mandingue, haoussa, arabe, berbère, mossi, touareg etc.
A l’insécurité dans ces villes est venue s’ajouter celle de Kidal depuis que le colon à son arrivée a voulu créer les états riverains du Sahara à la faveur de je ne sais qui.
A la faveur de l’indépendance du Mali, le Président Modibo KEITA peut être reprochable de tout mais pas de l’incapacité à vaincre les différentes rebellions de son époque. Tout le monde se rappelle de M. Dibi DIARRA de Gao à Kidal en passant Tombouctou et de sa bravoure, jusqu’à ce qu’un jour de l’année 1990 ces rebellions revoient le grand jour, ce fut la fin du règne du Général Président de 1968 à 1991, alors qu’il s’en prenait contre le vœux des occidentaux, aux ONG qui semblaient armer les habitants des zones sahélo sahariennes avec la complicité de pays voisins et/ou même de quelques officiers militaires maliens. Trop tard disait l’autre, le seuil d’incompétence de l’état a été déjà atteint, vue la crise politique au sommet du parti état : UDPM.
DE NOS JOURS :
Le 26 mars 1991 a vu certes l’avènement du pluralisme politique et syndical au Mali, mais avec une nouvelle rébellion dont les acteurs sont plus armés que l’armée malienne, une armée malienne hautement politisée après 1978 à la faveur de la création de l’UDPM par le Général, et donc qui a perdu le réflexe de la stratégie militaire et de défense de l’intégrité territoriale comme édictée par la constitution de la première république et celle de la troisième république.
Acte premier d’impuissance de l’état : signature du Pacte Social en 1992 qui donne des faveurs aux rebelles sur le double plan d’exonération de commerce et plus grave de la liberté d’être armé dans les villes du nord est du Mali, pendant que les populations sédentaires en étaient interdites. Ceci a conduit l’enrichissement rapide des uns sur le plan économique et armement de banditisme, amis aussi et surtout à l’accentuation de la pauvreté des sédentaires, à l’instauration de la terreur et du manque de confiance entre ces populations jadis métissées, paisibles et solidaires.
Réaction première des sédentaires du nord est : création du Mouvement Ganda Koy par le Capitaine Abloulaye MAIGA pour assurer l’autodéfense de ces populations abandonnées par l’état à leur propre sort, du fait de préjugés et de mépris par le sommet de l’état, comme dit on dans les grains et salons de Bamako : ce sont des populations paresseuses et incapables de se défendre, mais c’est ignorer l’histoire sociologique de cette zone, ou son histoire tout court.
Le MGK malgré ses preuves sur le terrain en terme de dissuasion, a été interdit alors que l’état laissait faire les soit disants bandits soutenus par des voisins et puissances étrangères.
Acte deux de l’impuissance de l’état : célébration sous prétexte que les armes des belligérants seront entièrement rendues, de la flamme de la paix à Tombouctou en 1996 suite à la non reconnaissance de la nationalité de chef rebelle Zahabi par certains pays dits amis, et pour accorder en conséquence des postes dans l’armée et dans la focntion publique des militants des deux camps : rébellion et MGK.
Réaction deux des ressortissants sédentaires : La gestion de cette insertion a d’autant été mal géré que les promus n’ont pu bénéficié des mêmes quota ou avantages comme prévu, et de sur crois a suscité d’autre velléités naissantes dans certains camps.
Acte trois d’impuissance de l’état : à la faveur de cette flamme de la paix des organismes financiers internationaux ont débloqué des centaines de milliards de FCFA devant servir au fonctionnement du Commissariat au Nord créé dans le but de gérer le DDR à savoir Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, ainsi que l’aide au développement économique et sociale de la zone.
Réaction trois des populations de la zone : Cette manne financière a certes permis le début de la résolution de certains situations socio-économiques, mais comportait une mauvaise répartition du fait des intermédiaires et du manque de rigueur de l’état de n’avoir pas mis sur une méthode efficace de suivi évaluation des différents projets censés apporter une croissance sensible dans la zone.
Cependant il faut reconnaître que la zone a connu une certaine accalmie du fait de la mise en place des instituions, et de la nouvelle politique de décentralisation ayant pour objet la prise en charge des populations par elles mêmes.
DE LA STRATEGIE DE DEFENSE DE L’ETAT :
Faute de réelle stratégie de l’état au sommet, le politique prenant le dessus sur la sécurité et de la croissance économique les autorités ont perdu de vue qu’une rébellion se préparait, jusqu’aux attaques à Kidal un certains juin 2006 pilotées par des officiers bien connus des formes armées.
Comme la négligence ne suffisait pas, l’état malien au lieu de juger des hors la loi par une justice civile ou militaire se contentait de dire que ce sont des enfants égarés et comptait sur l’aide d’un pays voisin pour signer des accords qui n’ont jamais été respectés par aucune des deux parties, une partie étant soutenue par ailleurs et l’autre oubliant carrément que des populations meurent tous les jours dans cette partie du pays.
Acte quatre de l’impuissance de l’état : malgré le cri d’alarme de certains partis politiques qui ont dénoncé ces accords au détriment de l’intégrité territoriale du Mali, les autorités se sont contentées de faire des médiations avec ceux là mêmes qu’elles soupçonnent en plus d’un troisième larron dont les faits ne sont jamais maîtrisables.
Ceci a favorisé la multitude d’enlèvement par l’AQMI de touristes ou membres de soit disant ONG qui me semblent quelques parts complices du réveil de la rébellion, ce qui échappe à nos forces armées de défense et de sécurité que l’on soupçonne dans une certaine opinion publique malienne de complicité dans les récents événements de trafic de drogue ou d’armes.
Pendant ce temps des fils nationalistes ont été arrêtés, pendant que les bandits continuent leur petit bonhomme de chemin tranquillement dans la zone contre des rançons dont l’état malien est devenu champion en la matière en Afrique au sud du Sahara et, au profit de qui ou au détriment de qui : cogiter quant à la libération d’un espion français soit disant membre d’ONG contre quatre terroristes recherchés par leurs pays respectifs.
Réaction quatre (timide) des populations maliennes : la libération du français Camat a suscité pas mal de remous dans la population malienne dedans et au dehors y compris les sympathisants du Mali. Pour certains ce fut un acte de très haute trahison de la part des gouvernants en de leurs désaveux par deux pays voisins qui ne leurs ont pas pardonné d’avoir libérés des terroristes en faisant fi des accords entre eux et le Mali.
Acte cinq de réveil (timide) de l’état : c’est suite à la conférence diplomatique qu’il a tenue le 02 mars 2010 que le Ministre malien des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale a enfin informé l’opinion publique nationale et internationale que le Conseil Supérieur de la Défense du Mali allait se réunira à compter du 05 mars 2010 sur les récents événements, car disons nous la vérité le Mali risque d’être isolé car les mauritaniens et algériens ont osé pénétrer le territoire malien pour arrêter des islamistes terroristes parmi lesquels des maliens, mais où est l’intégrité du territoire.
Réaction cinq des populations du Mali, de l’Afrique et du monde entier : attendons voir de quoi la montagne va accoucher : une bombe ou une souris avec l’aide ou non de l’oncle SAM et tonton SARKO.
CONCLUSION
Au tant il est vrai que la démocratie est un des moyens pour améliorer les conditions de vie des populations, au tant il me semble que nos réalités socioculturelles exigent une participation totale de tous les acteurs qui connaissent le terroir en leur associant des experts en médiation qui sont unanimement connus pour leur impartialité.
Il ne s’agit pas de faire l’éloge des héros de notre passé, il s’agit plutôt de construire notre présent et de préparer l’avenir des générations futures qui parleront de ce présent à condition qu’il soit bien construit sans discrimination et isolement d’aucune partie de notre cher pays à tous : soninké, mandingues, songhay, touarègues, arabes, peulh etc.
RECOMMANDATION PERTINENTE :
Il me semble qu’il faudra désormais parler d’insécurité au Mali plutôt que de se focaliser sur les régions du septentrion, étant donné que certains considèrent cette notion de nord/sud au Mali comme source de deux poids deux mesures car pendant que les régions du sud jusqu’à Mopti se développent celles du nord-est reculent alors qu’elles étaient jadis prospères et paisibles.
Sources historiques : Wikipédia, écrits de Madame Adam BA KONARE, Issoufi ZAKARI, Boubou Hama, Jean ROUCHE, du Docteur Harun Almahadi MAIGA etc.
Signé : Alassane Amadou MAIGA, ingénieur de son état
Source :Temoust
Aussi, tous les souverains de l’époque pour faire régner la paix et la cohésion sociale n’avaient ils pas d’épouses : songhay, soninké, mandingue, haoussa, arabe, berbère, mossi, touareg etc.
A l’insécurité dans ces villes est venue s’ajouter celle de Kidal depuis que le colon à son arrivée a voulu créer les états riverains du Sahara à la faveur de je ne sais qui.
A la faveur de l’indépendance du Mali, le Président Modibo KEITA peut être reprochable de tout mais pas de l’incapacité à vaincre les différentes rebellions de son époque. Tout le monde se rappelle de M. Dibi DIARRA de Gao à Kidal en passant Tombouctou et de sa bravoure, jusqu’à ce qu’un jour de l’année 1990 ces rebellions revoient le grand jour, ce fut la fin du règne du Général Président de 1968 à 1991, alors qu’il s’en prenait contre le vœux des occidentaux, aux ONG qui semblaient armer les habitants des zones sahélo sahariennes avec la complicité de pays voisins et/ou même de quelques officiers militaires maliens. Trop tard disait l’autre, le seuil d’incompétence de l’état a été déjà atteint, vue la crise politique au sommet du parti état : UDPM.
DE NOS JOURS :
Le 26 mars 1991 a vu certes l’avènement du pluralisme politique et syndical au Mali, mais avec une nouvelle rébellion dont les acteurs sont plus armés que l’armée malienne, une armée malienne hautement politisée après 1978 à la faveur de la création de l’UDPM par le Général, et donc qui a perdu le réflexe de la stratégie militaire et de défense de l’intégrité territoriale comme édictée par la constitution de la première république et celle de la troisième république.
Acte premier d’impuissance de l’état : signature du Pacte Social en 1992 qui donne des faveurs aux rebelles sur le double plan d’exonération de commerce et plus grave de la liberté d’être armé dans les villes du nord est du Mali, pendant que les populations sédentaires en étaient interdites. Ceci a conduit l’enrichissement rapide des uns sur le plan économique et armement de banditisme, amis aussi et surtout à l’accentuation de la pauvreté des sédentaires, à l’instauration de la terreur et du manque de confiance entre ces populations jadis métissées, paisibles et solidaires.
Réaction première des sédentaires du nord est : création du Mouvement Ganda Koy par le Capitaine Abloulaye MAIGA pour assurer l’autodéfense de ces populations abandonnées par l’état à leur propre sort, du fait de préjugés et de mépris par le sommet de l’état, comme dit on dans les grains et salons de Bamako : ce sont des populations paresseuses et incapables de se défendre, mais c’est ignorer l’histoire sociologique de cette zone, ou son histoire tout court.
Le MGK malgré ses preuves sur le terrain en terme de dissuasion, a été interdit alors que l’état laissait faire les soit disants bandits soutenus par des voisins et puissances étrangères.
Acte deux de l’impuissance de l’état : célébration sous prétexte que les armes des belligérants seront entièrement rendues, de la flamme de la paix à Tombouctou en 1996 suite à la non reconnaissance de la nationalité de chef rebelle Zahabi par certains pays dits amis, et pour accorder en conséquence des postes dans l’armée et dans la focntion publique des militants des deux camps : rébellion et MGK.
Réaction deux des ressortissants sédentaires : La gestion de cette insertion a d’autant été mal géré que les promus n’ont pu bénéficié des mêmes quota ou avantages comme prévu, et de sur crois a suscité d’autre velléités naissantes dans certains camps.
Acte trois d’impuissance de l’état : à la faveur de cette flamme de la paix des organismes financiers internationaux ont débloqué des centaines de milliards de FCFA devant servir au fonctionnement du Commissariat au Nord créé dans le but de gérer le DDR à savoir Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, ainsi que l’aide au développement économique et sociale de la zone.
Réaction trois des populations de la zone : Cette manne financière a certes permis le début de la résolution de certains situations socio-économiques, mais comportait une mauvaise répartition du fait des intermédiaires et du manque de rigueur de l’état de n’avoir pas mis sur une méthode efficace de suivi évaluation des différents projets censés apporter une croissance sensible dans la zone.
Cependant il faut reconnaître que la zone a connu une certaine accalmie du fait de la mise en place des instituions, et de la nouvelle politique de décentralisation ayant pour objet la prise en charge des populations par elles mêmes.
DE LA STRATEGIE DE DEFENSE DE L’ETAT :
Faute de réelle stratégie de l’état au sommet, le politique prenant le dessus sur la sécurité et de la croissance économique les autorités ont perdu de vue qu’une rébellion se préparait, jusqu’aux attaques à Kidal un certains juin 2006 pilotées par des officiers bien connus des formes armées.
Comme la négligence ne suffisait pas, l’état malien au lieu de juger des hors la loi par une justice civile ou militaire se contentait de dire que ce sont des enfants égarés et comptait sur l’aide d’un pays voisin pour signer des accords qui n’ont jamais été respectés par aucune des deux parties, une partie étant soutenue par ailleurs et l’autre oubliant carrément que des populations meurent tous les jours dans cette partie du pays.
Acte quatre de l’impuissance de l’état : malgré le cri d’alarme de certains partis politiques qui ont dénoncé ces accords au détriment de l’intégrité territoriale du Mali, les autorités se sont contentées de faire des médiations avec ceux là mêmes qu’elles soupçonnent en plus d’un troisième larron dont les faits ne sont jamais maîtrisables.
Ceci a favorisé la multitude d’enlèvement par l’AQMI de touristes ou membres de soit disant ONG qui me semblent quelques parts complices du réveil de la rébellion, ce qui échappe à nos forces armées de défense et de sécurité que l’on soupçonne dans une certaine opinion publique malienne de complicité dans les récents événements de trafic de drogue ou d’armes.
Pendant ce temps des fils nationalistes ont été arrêtés, pendant que les bandits continuent leur petit bonhomme de chemin tranquillement dans la zone contre des rançons dont l’état malien est devenu champion en la matière en Afrique au sud du Sahara et, au profit de qui ou au détriment de qui : cogiter quant à la libération d’un espion français soit disant membre d’ONG contre quatre terroristes recherchés par leurs pays respectifs.
Réaction quatre (timide) des populations maliennes : la libération du français Camat a suscité pas mal de remous dans la population malienne dedans et au dehors y compris les sympathisants du Mali. Pour certains ce fut un acte de très haute trahison de la part des gouvernants en de leurs désaveux par deux pays voisins qui ne leurs ont pas pardonné d’avoir libérés des terroristes en faisant fi des accords entre eux et le Mali.
Acte cinq de réveil (timide) de l’état : c’est suite à la conférence diplomatique qu’il a tenue le 02 mars 2010 que le Ministre malien des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale a enfin informé l’opinion publique nationale et internationale que le Conseil Supérieur de la Défense du Mali allait se réunira à compter du 05 mars 2010 sur les récents événements, car disons nous la vérité le Mali risque d’être isolé car les mauritaniens et algériens ont osé pénétrer le territoire malien pour arrêter des islamistes terroristes parmi lesquels des maliens, mais où est l’intégrité du territoire.
Réaction cinq des populations du Mali, de l’Afrique et du monde entier : attendons voir de quoi la montagne va accoucher : une bombe ou une souris avec l’aide ou non de l’oncle SAM et tonton SARKO.
CONCLUSION
Au tant il est vrai que la démocratie est un des moyens pour améliorer les conditions de vie des populations, au tant il me semble que nos réalités socioculturelles exigent une participation totale de tous les acteurs qui connaissent le terroir en leur associant des experts en médiation qui sont unanimement connus pour leur impartialité.
Il ne s’agit pas de faire l’éloge des héros de notre passé, il s’agit plutôt de construire notre présent et de préparer l’avenir des générations futures qui parleront de ce présent à condition qu’il soit bien construit sans discrimination et isolement d’aucune partie de notre cher pays à tous : soninké, mandingues, songhay, touarègues, arabes, peulh etc.
RECOMMANDATION PERTINENTE :
Il me semble qu’il faudra désormais parler d’insécurité au Mali plutôt que de se focaliser sur les régions du septentrion, étant donné que certains considèrent cette notion de nord/sud au Mali comme source de deux poids deux mesures car pendant que les régions du sud jusqu’à Mopti se développent celles du nord-est reculent alors qu’elles étaient jadis prospères et paisibles.
Sources historiques : Wikipédia, écrits de Madame Adam BA KONARE, Issoufi ZAKARI, Boubou Hama, Jean ROUCHE, du Docteur Harun Almahadi MAIGA etc.
Signé : Alassane Amadou MAIGA, ingénieur de son état
Source :Temoust