L’Association des Jeunes pour le Développement Intégré de Gabou (A.J.D.I.G) organise la première journée culturelle de Gabou. La ville de Dakar a été choisie pour abriter ces festivités, prévues au Foyer des jeunes de Grand Yoff, le dimanche 24 juillet 2011 à partir de 09 heures. Et pour réussir cette organisation, depuis des semaines, vieux et jeunes de tous âges sont en vive préparation pour véritablement marquer la première sortie culturelle des fils de Gabou dans la scène culturelle du Soninkara.
A l’instar des autres villages soninkés du Boundou, du Gadjaiga, du Khaniaga, du Hairé, voilà aussi le village de Gabou au devant de la scène culturelle du soninkara. Pour tenter de marquer le nom de la journée culturelle de Gabou dans l’agenda culturelle de la communauté soninké d’ici ou d’ailleurs. Et pour réussir cette montée sur scène, depuis quelques semaines, vieux en conseils aux enfants sont dans de vives concertations morales, techniques, financières et matérielles pour que cette première édition de la journée culturelle de Gabou soit pour de bon être gravée dans la mémoire de tout bon fils du soninkara. L’organisation de cette journée culturelle est du mérite de l’Association des Jeunes pour le Développement Intégré de Gabou (A.J.D.I.V.G) qui compte organiser depuis sa création en Octobre 2010, à Dakar, sa première journée culturelle, celle qui est désormais prévue pour être célébrée chaque année au courant du mois de juillet. Si cette période de vacances est choisie, c’est pour permettre aux élèves, étudiants et autres vacanciers fils de Gabou d’ici où d’ailleurs à prendre part aux activités de cette association. La célébration de cette première édition est synonyme de prétexte pour relancer, susciter et faire la promotion de l’existence de cette association qui a pour objectif le développement de Gabou.
A l’instar des autres villages soninkés du Boundou, du Gadjaiga, du Khaniaga, du Hairé, voilà aussi le village de Gabou au devant de la scène culturelle du soninkara. Pour tenter de marquer le nom de la journée culturelle de Gabou dans l’agenda culturelle de la communauté soninké d’ici ou d’ailleurs. Et pour réussir cette montée sur scène, depuis quelques semaines, vieux en conseils aux enfants sont dans de vives concertations morales, techniques, financières et matérielles pour que cette première édition de la journée culturelle de Gabou soit pour de bon être gravée dans la mémoire de tout bon fils du soninkara. L’organisation de cette journée culturelle est du mérite de l’Association des Jeunes pour le Développement Intégré de Gabou (A.J.D.I.V.G) qui compte organiser depuis sa création en Octobre 2010, à Dakar, sa première journée culturelle, celle qui est désormais prévue pour être célébrée chaque année au courant du mois de juillet. Si cette période de vacances est choisie, c’est pour permettre aux élèves, étudiants et autres vacanciers fils de Gabou d’ici où d’ailleurs à prendre part aux activités de cette association. La célébration de cette première édition est synonyme de prétexte pour relancer, susciter et faire la promotion de l’existence de cette association qui a pour objectif le développement de Gabou.
C’est ainsi que les organisateurs ont préféré mettre l’accent sur, à travers leurs multiples rencontres effectuées, la sensibilisation, l’implication, la prise de contacts et surtout la bonne compréhension de tous les gabois afin de prendre part aux activités de ladite association pour la réalisation de ses objectifs à court et à long terme attendus par l’AJDIVG qui, dans ces différentes activités effectuées, en cours ou envisagées ne travaille que pour le développement du village de Gabou. Au menu des activités : des ateliers de discussion, d’échanges et de dialogue sur des thèmes de développement ; des prestations d’articles : rappeurs, danseuses entre autres surprises de cette journée culturelle.
Les activites dominantes a gabou où plus de 80% des 2.000 habitants sont des agriculteurs :
Cette agriculture est basée sur le mil, l’arachide, le maïs et le riz en saison des pluies. Alors que les deux mois qui suivent cette période, ces agriculteurs s’adonnent à la culture de décrue qui s’intéresse à la culture du maïs, du sorgho, de la patate, des légumes en général. La récolte est destinée en grande quantité à la consommation et à une faible quantité vendue dans les marchés locaux du village ou ceux d’environs. Cette population constituée de l’ethnie Halpoular (peuls) s’adonnent eux en majorité à l’élevage. Alors que celle des Soninkés et Bambara demeurent les grands agriculteurs. A noter que l’émigration est un phénomène qui n’est pas négligeable de part son rôle incontournable dans les activités de développement de Gabou.
TAPA TOUNKARA