Pour une bonne maîtrise de l'écriture, quarante-six maîtres (40 en français et 6 en arabe) séjournent, depuis hier, à l'école élémentaire Ibrahima Malal Diaman Bathily de la commune pour suivre un atelier de renforcement de capacités en expression écrite. Et ce jusqu'au 28 mars. Cet atelier qui a pour objectif le renforcement des capacités des enseignants dans les disciplines fondamentales du français et des mathématiques, entre dans le cadre du plan académique de formation extrait du plan opérationnel budgétaire et annuel.
Quarante-six maîtres craie en main dont 40 en français et 6 en arabe suivent, depuis ce mercredi, un atelier de renforcement de capacités en expression écrite à l’école élémentaire Ibrahima Malal Diaman Bathily (Imdb) de la commune de Bakel. Et ce pour trois jours (26, 27 et 28 mars). Il s’agit plutôt d’un atelier axé sur la production d’écrits au niveau de la deuxième et de la troisième étape des écoles élémentaires, destiné à 46 maîtres issus des cellules d’animation pédagogique dont 30 sont représentées.
MALI: Inauguration des bureaux des postes à Kersignané et Tafacirga (Région de Kayes)
Les infrastructures ont été réalisées avec l'apport des ressortissants des localités bénéficiaires, installés en France.
Le développement des technologies de l'information et de la communication n'est pas forcement une mauvaise chose pour les postes. Au contraire, en révolutionnant la télécommunication, ces technologies offrent beaucoup d'opportunités à celles-ci.
C'est vrai que dans la foulée de la baisse du trafic des lettres au profit du courrier électronique, la multiplication des agences de transfert d'argent et la démocratisation du téléphone ont négativement joué sur les moyens d'exploitation des postes.
Village de Yaféra: les jeunes se disent livrés à eux-mêmes
Très enclavé, le village de Yaféra se situe à une trentaine de kilomètres au Sud-Est de la commune de Bakel dans le "Goye" supérieur (le long du fleuve). Dans ce village soninké, le dynamisme des jeunes regroupés au sein d'une association sous le vocable "Association des jeunes de Yaféra", n'est plus à démontrer. Seulement dans cette localité on déplore le manque criard d'infrastructures de jeunesse.
Dans cette localité habitée pour l'essentiel par des Soninké, les jeunes se sont regroupés au sein d'une association dénommée "Association des jeunes de Yaféra". Cette association a pour vocation le reboisement et la conservation des écosystèmes. C'est en ce sens qu'elle a bénéficié d'un financement de 16.3377.000 francs de l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs). Un projet de trois ans visant la sauvegarde des écosystèmes et l'enrichissement des sols.
Vingt-deux ans après l'installation du barrage: Diama et son arrière-pays tardent à décoller
Le barrage de Diama serait-il une coquille vide pour les populations riveraines ? Vingt-deux ans après son installation dans la zone de Maka-Diama, les retombées tardent à se concrétiser sur le terrain. Pis, la situation piétine et les autochtones, qui avaient nourri beaucoup d'espoir dans la construction de l'ouvrage commun au Sénégal, à la Mauritanie et au Mali, trouvent le temps long si elles ne se sont pas résignées.
'Cela fait vingt ans que le barrage de Diama est terminé, mais Diama est toujours resté un village. Il n'y a aucun décollage à Diama et environs. On est toujours en retard. C'est comme si le barrage n'était pas installé ici. Certaines populations boivent jusqu'à présent l'eau du fleuve. Il n'y a pas de château d'eau. Même les privilégiés qui bénéficient de l'eau de l'Omvs, sont obligés de payer. Et puis, ce n’est même pas de l'eau traitée, on leur donne de l'eau brute', se désole, en chœur, tout un pan de cette partie de la communauté rurale de Ross-Béthio.
Inauguration du foyer socio-éducatif du lycée Waoundé Ndiaye de Bakel
Les élèves du lycée Waoundé Ndiaye de Bakel ont procédé, le week-end dernier, à l'ouverture des activités de leur foyer socio-éducatif. Ainsi, l'occasion a été mise à profit pour les élèves entre autres invités pour rivaliser d’ardeur dans différents domaines : danse, chant, rap, culture générale, récitation de poèmes, théâtre, gymnastique, défilé de mode. . .
Dans son discours, le président du foyer, Mamadou Diouara, élève en classe de première a, à l’entame de ses propos tenu à rendre hommage à des parents disparus en cette année 2008 « je voudrai rendre hommage à nos parents disparus en cette année 2008. Donc pensées pieuses à la mère de Monsieur Manga, professeur d’histoire et de Géographie, aux pères de Monsieur Touré, surveillant et des élèves de la famille Top ».