Farafina, le magazine de la diaspora africaine en France, se positionne sur les centres d'intérêts de la diaspora africaine allant de l'immigré dans les foyers de travailleurs au cadre dans les Grandes Tours de décision. Farafina, c'est un site d'informations générales, et un journal diffusé sur Internet en téléchargement gratuit dont le dernier numéro a été téléchargé à plus de 2500 fois. Un succès qui démontre de l'intérêt de la diaspora africaine pour cette jeune société.
L’idée de créer Farafina, le magazine de la diaspora africaine en France, est née de deux constats. D’abord celui que la communauté africaine en France n’a plus le même visage, les mêmes ambitions, les mêmes motivations de vie en France qu’il y a dix ou vingt ans. «L’immigration n’est plus du fleuve mais de plus en plus des villes », comme l’ont constaté les sociologues. Cette nouvelle population a été à l’école le plus souvent, avec un niveau d’études supérieur, et a souvent fréquenté les universités françaises. Mais les conjonctures et les réalités du marché de l’emploi obligent la plupart d’entre eux à accepter des postes non qualifiés et comme agents de sécurité, manutentionnaires, etc.
Depuis quelques années, certains montent leurs propres affaires, le plus souvent à partir de rien du tout. Ce socle économique a donné déjà des entités comme le club Africagora. En plus de la création du Conseil représentatif des associations noires, une organisation tentant de créer une symbiose des dynamiques de l’ensemble des forces noires sociales, culturelles, économiques et politiques.
L’idée de créer Farafina, le magazine de la diaspora africaine en France, est née de deux constats. D’abord celui que la communauté africaine en France n’a plus le même visage, les mêmes ambitions, les mêmes motivations de vie en France qu’il y a dix ou vingt ans. «L’immigration n’est plus du fleuve mais de plus en plus des villes », comme l’ont constaté les sociologues. Cette nouvelle population a été à l’école le plus souvent, avec un niveau d’études supérieur, et a souvent fréquenté les universités françaises. Mais les conjonctures et les réalités du marché de l’emploi obligent la plupart d’entre eux à accepter des postes non qualifiés et comme agents de sécurité, manutentionnaires, etc.
Depuis quelques années, certains montent leurs propres affaires, le plus souvent à partir de rien du tout. Ce socle économique a donné déjà des entités comme le club Africagora. En plus de la création du Conseil représentatif des associations noires, une organisation tentant de créer une symbiose des dynamiques de l’ensemble des forces noires sociales, culturelles, économiques et politiques.
La communauté africaine compte aujourd’hui quelque 1 865 000 personnes de plus de 18 ans en Ile-de-France, soit 3,86% de la population selon le Conseil représentatif des associations noires. Les immigrés africains sont au nombre de 500 000 soit seulement 0, 7% de la population française. Mais en termes de média dans lesquels cette communauté se reconnaît, le constat est amer et Béchir Ben Yahmed, le patron de Jeune Afrique, avoue que les Africains ne lisent pas son journal malgré sa grande notoriété. Cette référence de la presse se désolait ainsi de voir les Africains lire la presse française – encore que l’intérêt y semble limité. Ces journaux ne parlent de la communauté africaine que très rarement, le plus souvent dans des circonstances de malheur. Même Rfi, qui peut être considéré comme le média le plus populaire sur le continent, n’a pas encore totalement acquis la communauté africaine, en tout cas en Ile-de-France, puisqu’elle n’est pas la radio la plus écoutée par les Africains. Avec Internet, ce formidable réseau social, il s’est opéré un retour nostalgique vers les pays d’origine, un repli identitaire qui a exacerbé le morcellement des communautés. En plus, aucun site n’existe aujourd’hui sur ce positionnement spécifique qui est celui de s’intéresser exclusivement à la diaspora africaine en France. Jusque les sites qui se disent de la diaspora proposent les informations du pays plutôt que celles que vit la diaspora où elle réside, la richesse des activités des nombreuses associations et organisations qui fédèrent les communautés.
C’est donc pour proposer un cadre unique, fédérer toutes les communautés africaines autour d’intérêts communs – un quotidien partagé, les mêmes aspirations… - que nous nous avons décidé, suite aux d’études menées par nos soins auprès de membres de la communauté, de lancer un magazine de la diaspora dont le défi majeur est quand même de converger les intérêts de l’immigré de base, ceux des entrepreneurs africains, des étudiants, de l’agent diplomatique, du fonctionnaire international.
Farafina se positionne comme le journal de tous les immigrés du continent africain en France. Du manutentionnaire sur le marché de Château Rouge au professeur d’université en passant par l’étudiant ou le fonctionnaire, nous nous adressons à cette communauté en montrant son monde tels qu’il est, en faisant entendre sa voix, en donnant la parole aux femmes et aux hommes qui entreprennent et veulent réussir.
Le site d'informations générales (farafinamag.com) fait partie aujourd’hui des plus grands sites communautaires visités par la diaspora africaine avec une lettre de diffusion de plus de 5000 adresses. Le site est régulièrement mis à jour avec des nouvelles de proximité sur l’ensemble des secteurs d’activités de la diaspora et une couverture rationnelle de toutes les communautés. Le site Internet propose dans ses rubriques interactives de faire participer les membres de la communauté à la rédaction des articles en nous informant de tout ce qui touche de près ou de loin à la vie de la communauté dans leur cité, leur ville, leur département ou en proposant directement des textes. La rubrique « La lettre du village », commune au journal papier (mensuel) et au site internet (hebdomadaire), est une chronique de la vie des Africains en France sous l’effet miroir.
Un journal mensuel d'analyses et de prospectives est diffusé sur Internet en téléchargement gratuit. Le précédent numéro a été téléchargé à plus de 2500 fois. Farafina compte être le nouveau lieu de rencontre de la communauté africaine en France.
C’est donc pour proposer un cadre unique, fédérer toutes les communautés africaines autour d’intérêts communs – un quotidien partagé, les mêmes aspirations… - que nous nous avons décidé, suite aux d’études menées par nos soins auprès de membres de la communauté, de lancer un magazine de la diaspora dont le défi majeur est quand même de converger les intérêts de l’immigré de base, ceux des entrepreneurs africains, des étudiants, de l’agent diplomatique, du fonctionnaire international.
Farafina se positionne comme le journal de tous les immigrés du continent africain en France. Du manutentionnaire sur le marché de Château Rouge au professeur d’université en passant par l’étudiant ou le fonctionnaire, nous nous adressons à cette communauté en montrant son monde tels qu’il est, en faisant entendre sa voix, en donnant la parole aux femmes et aux hommes qui entreprennent et veulent réussir.
Le site d'informations générales (farafinamag.com) fait partie aujourd’hui des plus grands sites communautaires visités par la diaspora africaine avec une lettre de diffusion de plus de 5000 adresses. Le site est régulièrement mis à jour avec des nouvelles de proximité sur l’ensemble des secteurs d’activités de la diaspora et une couverture rationnelle de toutes les communautés. Le site Internet propose dans ses rubriques interactives de faire participer les membres de la communauté à la rédaction des articles en nous informant de tout ce qui touche de près ou de loin à la vie de la communauté dans leur cité, leur ville, leur département ou en proposant directement des textes. La rubrique « La lettre du village », commune au journal papier (mensuel) et au site internet (hebdomadaire), est une chronique de la vie des Africains en France sous l’effet miroir.
Un journal mensuel d'analyses et de prospectives est diffusé sur Internet en téléchargement gratuit. Le précédent numéro a été téléchargé à plus de 2500 fois. Farafina compte être le nouveau lieu de rencontre de la communauté africaine en France.