28 Avr2012
LINON DAADE c'est tout simplement le rendez-vous de la reconnaissance et de la solidarité. Une tribune pour récompenser les nôtres et les encourager dans une ambiance de feu riche en couleurs, en paillettes et en surprises. Les jeunes Soninkés seront primés dans plusieurs domaines riches et variés. Bloquez la date : le 5 Mai 2012 à la Bourse du Travail, Saint Denis, Porte de Paris.
26 Avr2012
Nanterre : indignation après larrestation aux prudhommes dun sans-papiers
Licencié sans indemnités pour avoir présenté de faux papiers, un Malien a voulu faire valoir ses droits devant le conseil de prud’hommes de Nanterre. Où il a été cueilli par la police.
« Scandaleux », « incroyable », « immoral », « une grande première ». C’est par ces mots que les associations des droits de l’homme, d’aide aux étrangers, mais aussi les organisations syndicales de magistrats et d’avocats qualifient l’interpellation, le 11 avril, d’un travailleur malien sans papiers, Zoumana, à la sortie de son audience de conciliation avec son ex-employeur devant le conseil de prud’hommes de Nanterre.
« Je voulais juste défendre mes droits » « Je voulais juste défendre mes droits »
26 Avr2012
Des associations appellent à manifester contre l'islamophobie et la négrophobie en France le 8-05-12
1er tour…, 2e tour… : le 8 mai, c’est notre tour !
Nous savons qui va gagner les prochaines élections : ce ne sera pas nous.
Trente ans de lutte de l’immigration, une grève générale exemplaire en Guadeloupe comme en Martinique et une longue séquence de révoltes au sein des quartiers populaires – de celles de novembre 2005 jusqu’à Villiers-le-bel – ont démontré une résistance acharnée de la part de tous ceux et celles qu’une large part du champ politique n’a eu de cesse d’exclure ou de cantonner à un rôle de citoyens de seconde zone. Les seules réponses que les pouvoirs en place ont apportées se résument à plus de répression et à la mise en œuvre de plus en plus active d’un régime d’exception à l’encontre des descentants de colonisés : couvre-feu et état d’urgence en 2005, quadrillage des quartiers populaires par les polices spéciales, violences policières impunies, gestion des « flux migratoires » de plus en plus accrue et féroce, et l’inflation de lois et de décrets islamophobes pour évincer les musulmans de l’espace public. Quels que soient les gouvernements successifs, les injustices et les problèmes de fond se sont renforcés. Le racisme d’État s’affermit de jour en jour et se décline de la négrophobie exarcébée jusqu’aux attitudes paternalistes.
L’offensive ne s’arrête pas aux discours racistes prononcés par les plus hautes figures de l’État, qui désignent les habitants des quartiers populaires comme les principales sources de tous les maux du système alors qu’ils et elles en sont les premières victimes : ce sont eux et elles qui sont, en premier lieu, discriminés à l’embauche, à l’avancement, au logement, etc. La crise, et l'austérité qui l'accompagne, ne frappent pas partout de la même manière : les quartiers populaires sont les plus durement touchés par le chômage, par le démantèlement du service public et par les coupes budgétaires massives.
Nous savons qui va gagner les prochaines élections : ce ne sera pas nous.
Trente ans de lutte de l’immigration, une grève générale exemplaire en Guadeloupe comme en Martinique et une longue séquence de révoltes au sein des quartiers populaires – de celles de novembre 2005 jusqu’à Villiers-le-bel – ont démontré une résistance acharnée de la part de tous ceux et celles qu’une large part du champ politique n’a eu de cesse d’exclure ou de cantonner à un rôle de citoyens de seconde zone. Les seules réponses que les pouvoirs en place ont apportées se résument à plus de répression et à la mise en œuvre de plus en plus active d’un régime d’exception à l’encontre des descentants de colonisés : couvre-feu et état d’urgence en 2005, quadrillage des quartiers populaires par les polices spéciales, violences policières impunies, gestion des « flux migratoires » de plus en plus accrue et féroce, et l’inflation de lois et de décrets islamophobes pour évincer les musulmans de l’espace public. Quels que soient les gouvernements successifs, les injustices et les problèmes de fond se sont renforcés. Le racisme d’État s’affermit de jour en jour et se décline de la négrophobie exarcébée jusqu’aux attitudes paternalistes.
L’offensive ne s’arrête pas aux discours racistes prononcés par les plus hautes figures de l’État, qui désignent les habitants des quartiers populaires comme les principales sources de tous les maux du système alors qu’ils et elles en sont les premières victimes : ce sont eux et elles qui sont, en premier lieu, discriminés à l’embauche, à l’avancement, au logement, etc. La crise, et l'austérité qui l'accompagne, ne frappent pas partout de la même manière : les quartiers populaires sont les plus durement touchés par le chômage, par le démantèlement du service public et par les coupes budgétaires massives.
26 Avr2012
Mauritanie-UE: Formation pour 40 journalistes dans le cadre du projet Justice financé par l'UE
Dans le cadre du Projet de Renforcement et de Réhabilitation de la Justice (PRRSJ) financé par l’Union européenne au profit du ministère de la Justice mauritanien, une quarantaine de journalistes relevant de la presse écrite, de la radio et de l'audiovisuel, publique comme privée, dont quatre femmes, vont bénéficier du 15 au 26 avril d’ateliers de formations sur fonctionnement de la justice Mauritanienne et sur les techniques rédactionnelles adaptées au contexte judiciaire.
L'objectif général de ces ateliers de formations est d'améliorer l’accès à la justice, et surtout l'image de la justice, en formant les journalistes aux principes généraux du fonctionnement du système judiciaire, du droit applicable et à la rédaction de chroniques judiciaires ou d'articles portant sur la justice.
Ces ateliers de formation, qui se tiendront du 15 au 26 avril prochain à Nouakchott, seront enseignés par des experts mauritaniens en droit et en journalisme d'investigation et porteront sur des thématiques générales relatives au système judiciaire mauritanien et au travail journalistique, permettant ainsi aux journalistes de mieux comprendre le fonctionnement de la justice et d’aborder également le rôle des institutions et des acteurs judiciaires. Une attention particulière sera apportée aux règles déontologiques et au professionnalisme qui concernent plus spécifiquement les journalistes dans l’exercice de leur profession et de la diffusion de l’information.
26 Avr2012
Mali: Liste des membres du gouvernement Cheick Modibo Diarra
Voici la liste des 24 ministres nommés ce jour par le Président de la République par intérim Dioncounda Traoré par décret N°2012-194/P-RM du 24 avril 2012.
1- Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale
Sadio Lamine SOW
2- Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget :
Tiéna COULIBALY
3- Ministre de la Défense et des Anciens Combattants :
Colonel –Major Yamoussa CAMARA
4- Ministre de la Sécurité Intérieure et de la Protection Civile :
Général Tiéfing KONATE
5- Ministre de la Fonction Publique, de la Gouvernance et des Réformes Administratives et Politiques, Chargé des Relations avec les Institutions :
Mamadou Namory TRAORE
6- Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire :
Colonel Moussa Sinko COULIBALY
7- Ministre du Commerce, des Mines et de l’Industrie :
Ahmadou TOURE
8- Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche :
Moussa Léo SIDIBE
9- Ministre de la Jeunesse, du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle :
Mamadou DIAKITE
10- Ministre de la Santé :
Soumana MAKADJI
1- Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale
Sadio Lamine SOW
2- Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget :
Tiéna COULIBALY
3- Ministre de la Défense et des Anciens Combattants :
Colonel –Major Yamoussa CAMARA
4- Ministre de la Sécurité Intérieure et de la Protection Civile :
Général Tiéfing KONATE
5- Ministre de la Fonction Publique, de la Gouvernance et des Réformes Administratives et Politiques, Chargé des Relations avec les Institutions :
Mamadou Namory TRAORE
6- Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire :
Colonel Moussa Sinko COULIBALY
7- Ministre du Commerce, des Mines et de l’Industrie :
Ahmadou TOURE
8- Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche :
Moussa Léo SIDIBE
9- Ministre de la Jeunesse, du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle :
Mamadou DIAKITE
10- Ministre de la Santé :
Soumana MAKADJI