Les maux de Tambacounda au menu pour dégager les pistes à suivre par la diaspora afin de contribuer au développement de la région.
Le Palais des Nations et la Maison des Associations à Genève en Suisse ont accueilli la 1ère Rencontre Internationale des Tambacoundois de la Diaspora, les 26 et 27 octobre derniers. La ville des organisations internationales a vu affluer des participants venus du Sénégal et d’Europe pour assister à cet événement phare pour la région de Tambacounda.
Au Palais des Nations, le ton est donné dès l’accueil avec un impressionnant dispositif de sécurité à l’entrée, auquel doivent se soumettre tous les visiteurs. Le 26 octobre 2007, l’hospitalité tambacoundoise s’est associée à l’hospitalité genevoise au 3ème étage du Palais pour accueillir les participants de la rencontre. Ceux-ci ont été gratifiés d’un discours de bienvenue par le chef des relations avec les Ong et la société civile à l’Office des Nations Unies, M. Ricardo Espinosa. Idrissa Mbow, docteur en sociologie membre du comité d’organisation, a ensuite brillement énoncé l’origine et les objectifs de la rencontre à travers un discours vibrant porteur de tous les espoirs et les devoirs de la diaspora.
Le Palais des Nations et la Maison des Associations à Genève en Suisse ont accueilli la 1ère Rencontre Internationale des Tambacoundois de la Diaspora, les 26 et 27 octobre derniers. La ville des organisations internationales a vu affluer des participants venus du Sénégal et d’Europe pour assister à cet événement phare pour la région de Tambacounda.
Au Palais des Nations, le ton est donné dès l’accueil avec un impressionnant dispositif de sécurité à l’entrée, auquel doivent se soumettre tous les visiteurs. Le 26 octobre 2007, l’hospitalité tambacoundoise s’est associée à l’hospitalité genevoise au 3ème étage du Palais pour accueillir les participants de la rencontre. Ceux-ci ont été gratifiés d’un discours de bienvenue par le chef des relations avec les Ong et la société civile à l’Office des Nations Unies, M. Ricardo Espinosa. Idrissa Mbow, docteur en sociologie membre du comité d’organisation, a ensuite brillement énoncé l’origine et les objectifs de la rencontre à travers un discours vibrant porteur de tous les espoirs et les devoirs de la diaspora.
Puis le maire de Kédougou, M. Amath Dansokho, qui a répondu à l’invite lancée au quatre maires de la région, a pris la parole au nom des autorités sénégalaises en lieu et place d’un représentant de la Mission permanente du Sénégal auprès des Nations Unies qui n’a, semble-t-il, pas estimé prioritaire de marquer un soutien à la communauté tambacoundoise en répondant à l’invitation qui leur avait été lancée en septembre.
Ce fut ensuite au tour de M. Guy Dossan, Président du Conseil Municipal de la Ville de Genève, de prononcer un discours de bienvenue chaleureux au cours duquel il n’a pas manqué de rappeler les premiers liens tissés entre Genève et Tambacounda depuis 2000. Monsieur Guy Dossan a ensuite ouvert officiellement la 1ère Rencontre Internationale des Tambacoundois de la Diaspora.
Après la partie protocolaire, le programme a commencé par l’exposé de M. Redouane Saadi, Conseiller régional pour l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et le Golfe du département des Relations Extérieures à l’Organisation Internationales pour les Migrations OIM, qui a mis en lumière la stratégie de cette organisation internationale pour faire de la migration une force de développement à travers son programme MIDA, programme appuyant les migrants africains pour organiser leur contribution à leur pays d’origine et dont Tambacounda pourrait bien à terme bénéficier grâce au premier contact établi lors de la rencontre de Genève.
On est ensuite passé à l’état des lieux dépeint avec brio Mme Aminata Djigo, coordinatrice du programme USAID dans la région de Tambacounda, dans le domaine de l’éducation, par M. Ousmane Dianor, économiste chargé de programme à l’ONG Jardin de Cocagne – Solidarité Nord et Sud, dans celui de l’agriculture, par M. Sorry Diallo, secrétaire exécutif de l’ONG La Lumière, concerant l’environnement et les industries extractives, et par M. Ousmane Dia, gestionnaire culturel, artiste plasticien et enseignant en art visuel, qui a brossé l’état des lieux du tourisme et de la culture dans la région. Ces exposés ont donné matière aux quatre ateliers qui se sont déroulés durant l’après-midi et auxquels ont contribué efficacement la cinquantaine de participants présents.
Avant d’aller se restaurer et de prendre une pause réparatrice pour entamer les travaux d’atelier, les maires ayant fait le déplacement à Genève, M. Amath Dansokho, pour Kédougou, et M. Makha Sakho, pour la jeune commune de Diawara, ont apporté un message et un témoignage poignant sur les réalités auxquelles sont confrontées les populations de la région et plus particulièrement de leurs communes respectives. Ces élus ont saisi l’importance de cette rencontre et sa force symbolique et ont tenu à dégager de leur temps pour accompagner les jeunes initiateurs de la disapora pour assurer le succès de la rencontre.
Le Comité de coordination et d’organisation de la rencontre a fait la preuve d’une efficacité remarquable et a relevé le défi de boucler un programme chargé avec des personnalités venues d’horizons divers sur les deux jours consacrés à la rencontre. Ce comité est composé d’Ousmane Dia, homme de culture aux multiples casquettes et initiateur de tambacounda.info, d’Idrissa Mbow, docteur en sociologie des Universités de St-Louis et de Paris, d’Amath Diouf, initiateur de la radio online Keur Gou Mak, de Wahab Dieng, doctorant en sociologie à l’Université de Genève, d’Ousmane Dianor, économiste chargé de programme dans la région du fleuve Sénégal pour l’ONG genevoise les Jardins de Cocagne, de Kanyana Mutombo, politologue et journaliste congolais (RDC), panafricaniste actif en Suisse depuis plus de vingt ans et rédacteur en chef de la revue Regards Africains, d’Anne Dia, Secrétaire générale du Collectif Artistes Plasticiens, secrétaire de rédaction et administratrice adjointe de tambacounda.info.
Parmi les objectifs de la rencontre figurait la création d’un Réseau International des Tambacoudois de la Diaspora pour le Développement. C’est à cette tâche que se sont attelés les participants durant la journée du samedi 27 octobre à la Maison des Associations de Genève. Durant la matinée, la Charte de ce réseau a été adoptée à l’unanimité et l’après-midi c’est le règlement intérieur et le premier Conseil de coordination du réseau qui ont été validés à la majorité.
C’est donc le 27 octobre 2007 qu’est né à Genève le RIT2D (Réseau International des Tambacoundois de la Diaspora pour le Développement). Son premier conseil de coordination se compose ainsi : Ousmane Dia (Genève), coordinateur général, Soumaïla Aïdara (Paris), coordinateur chargé de la communication, Ousmane Dianor (Genève), coordinateur chargé des ressources humaines et financières, Idrissa Mbow (Paris), coordinateur chargé des cellules thématiques, Seydou Kanté (Paris), coordinateur chargé des aires géographiques, Amath Diouf (Houston, USA), chargé de l’aire Amérique, Wahab Dieng (Mali), chargé de l’aire Afrique, Samassa Bassirou (Genève), chargé de l’aire Europe, Khadidiatou Sène-Beck (Genève), chargée de la cellule Social. Quatre membres sont encore à désigner parmi les Tambacoundois de la diaspora qui n’ont pas pu faire le déplacement à Genève. Le secrétariat permanent du RIT2D est hébergé auprès de l’association tambacounda.info créée à Genève en janvier 2006.
Ce fut ensuite au tour de M. Guy Dossan, Président du Conseil Municipal de la Ville de Genève, de prononcer un discours de bienvenue chaleureux au cours duquel il n’a pas manqué de rappeler les premiers liens tissés entre Genève et Tambacounda depuis 2000. Monsieur Guy Dossan a ensuite ouvert officiellement la 1ère Rencontre Internationale des Tambacoundois de la Diaspora.
Après la partie protocolaire, le programme a commencé par l’exposé de M. Redouane Saadi, Conseiller régional pour l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et le Golfe du département des Relations Extérieures à l’Organisation Internationales pour les Migrations OIM, qui a mis en lumière la stratégie de cette organisation internationale pour faire de la migration une force de développement à travers son programme MIDA, programme appuyant les migrants africains pour organiser leur contribution à leur pays d’origine et dont Tambacounda pourrait bien à terme bénéficier grâce au premier contact établi lors de la rencontre de Genève.
On est ensuite passé à l’état des lieux dépeint avec brio Mme Aminata Djigo, coordinatrice du programme USAID dans la région de Tambacounda, dans le domaine de l’éducation, par M. Ousmane Dianor, économiste chargé de programme à l’ONG Jardin de Cocagne – Solidarité Nord et Sud, dans celui de l’agriculture, par M. Sorry Diallo, secrétaire exécutif de l’ONG La Lumière, concerant l’environnement et les industries extractives, et par M. Ousmane Dia, gestionnaire culturel, artiste plasticien et enseignant en art visuel, qui a brossé l’état des lieux du tourisme et de la culture dans la région. Ces exposés ont donné matière aux quatre ateliers qui se sont déroulés durant l’après-midi et auxquels ont contribué efficacement la cinquantaine de participants présents.
Avant d’aller se restaurer et de prendre une pause réparatrice pour entamer les travaux d’atelier, les maires ayant fait le déplacement à Genève, M. Amath Dansokho, pour Kédougou, et M. Makha Sakho, pour la jeune commune de Diawara, ont apporté un message et un témoignage poignant sur les réalités auxquelles sont confrontées les populations de la région et plus particulièrement de leurs communes respectives. Ces élus ont saisi l’importance de cette rencontre et sa force symbolique et ont tenu à dégager de leur temps pour accompagner les jeunes initiateurs de la disapora pour assurer le succès de la rencontre.
Le Comité de coordination et d’organisation de la rencontre a fait la preuve d’une efficacité remarquable et a relevé le défi de boucler un programme chargé avec des personnalités venues d’horizons divers sur les deux jours consacrés à la rencontre. Ce comité est composé d’Ousmane Dia, homme de culture aux multiples casquettes et initiateur de tambacounda.info, d’Idrissa Mbow, docteur en sociologie des Universités de St-Louis et de Paris, d’Amath Diouf, initiateur de la radio online Keur Gou Mak, de Wahab Dieng, doctorant en sociologie à l’Université de Genève, d’Ousmane Dianor, économiste chargé de programme dans la région du fleuve Sénégal pour l’ONG genevoise les Jardins de Cocagne, de Kanyana Mutombo, politologue et journaliste congolais (RDC), panafricaniste actif en Suisse depuis plus de vingt ans et rédacteur en chef de la revue Regards Africains, d’Anne Dia, Secrétaire générale du Collectif Artistes Plasticiens, secrétaire de rédaction et administratrice adjointe de tambacounda.info.
Parmi les objectifs de la rencontre figurait la création d’un Réseau International des Tambacoudois de la Diaspora pour le Développement. C’est à cette tâche que se sont attelés les participants durant la journée du samedi 27 octobre à la Maison des Associations de Genève. Durant la matinée, la Charte de ce réseau a été adoptée à l’unanimité et l’après-midi c’est le règlement intérieur et le premier Conseil de coordination du réseau qui ont été validés à la majorité.
C’est donc le 27 octobre 2007 qu’est né à Genève le RIT2D (Réseau International des Tambacoundois de la Diaspora pour le Développement). Son premier conseil de coordination se compose ainsi : Ousmane Dia (Genève), coordinateur général, Soumaïla Aïdara (Paris), coordinateur chargé de la communication, Ousmane Dianor (Genève), coordinateur chargé des ressources humaines et financières, Idrissa Mbow (Paris), coordinateur chargé des cellules thématiques, Seydou Kanté (Paris), coordinateur chargé des aires géographiques, Amath Diouf (Houston, USA), chargé de l’aire Amérique, Wahab Dieng (Mali), chargé de l’aire Afrique, Samassa Bassirou (Genève), chargé de l’aire Europe, Khadidiatou Sène-Beck (Genève), chargée de la cellule Social. Quatre membres sont encore à désigner parmi les Tambacoundois de la diaspora qui n’ont pas pu faire le déplacement à Genève. Le secrétariat permanent du RIT2D est hébergé auprès de l’association tambacounda.info créée à Genève en janvier 2006.
Par Assane Diallo envoyé spécial à Genève, www.Tambacounda.info