« Ñaxa n fasu xiide yi »
« Sefe n su wutini ti jopperen ya yi »
Danŋe ndo dinme baane feti
Sooxo ndo rege baane feti
Xanne suugu
Xaransuugu
Xiimandu
Musundu
Muurundu
Jagandu
Safandu ndo xaranŋu
Yaaxaraxurayu
Tuwaaxu ndo hintuwaaxu
Musundon beran faayi
Maamedi kaama musundon bera
Kante kundankon bera
Jara kundankon bera
Madi kaama sumiina
Gaayi kande renme xonte
Kisima kaama soxoode
Maaama sumiina jalabaane
Daado teme diixe
Xaransuuge : Allaahu taalla
Allaahu taalla
Tiigayen wa Allah da
Hinneye tunka
Tunka kallanKunte
MuHiyen tunka
Tunka kallanKunte
Tunkanu tunka
Tunka sabarinte
Concert de Daby Toure à Bobigny le samedi 18 octobre 2008
Entre Paris et Londres, il fera les premières parties de la dernière tournée européenne de Peter Gabriel en 2004.
Ibrahima Seck, Professeur dhishoire : « On conte encore "boukki" (hyène) dans la Louisiane »
Le Professeur Ibrahima Seck est enseignant à l’Ucad et au Warc (West African Recherche Center / Centre de Recherches Ouest Africaines). Un homme de culture serein et chaleureux. Un humaniste passionné. Un grand rêveur également, mais de ces rêves fédérateurs d’espérance et d’action, pour que les choses changent…
La Sentinelle : Professeur Ibrahima Seck, vous êtes Professeur au département d’histoire de l’Ucad (Université Cheikh Anta Diop de Dakar). Vous avez beaucoup travaillé sur la question « cultures africaines et esclavages » dans le Delta du Mississipi. Pourquoi ce choix ?
Ibrahima Seck : C’est plutôt par hasard. J’ai toujours voulu travailler sur les questions liées à l’esclavage. On voulait me faire travailler sur les litiges fonciers au Fouta, et cela ne m’intéressait pas. Et il faut aussi dire que tout jeune ayant grandi dans les années 60/70, était imprégné de la culture afro-américaine, à travers le blues, le jazz, le rock and roll. Donc il y avait quand même une attirance que j’avais par rapport aux Etats-Unis.
Duo de Fou Malade et Mokobé: 'Les rappeurs français ne sont pas solidaires avec l'Afrique'
Le Français Mokobé et le Sénégalais Fou Malade racontent l'Afrique vue d'ici et de là-bas, égratignant les stars du genre.
Deux titres qui résument leurs parcours. Leurs discours. Les deux artistes ont pris le micro parce qu'ils avaient "des choses à dire". Sur la banlieue et l'Afrique, évidemment. Fou Malade vient souvent en France, mais entend rester vivre sur son continent, dans son pays, où il est incontestablement le rappeur numéro un. Mokobé, coauteur de "Tonton du bled" avec le 113, y revient souvent dans son bled, ses bleds au Mali, au Sénégal et en Mauritanie, pays de ses parents.