Cette conférence animée par Catherine QUIMINAL professeur émérite de sociologie et d’anthropologie, par WAGUE Cheikhna Mahamadou historien-doctorant et chercheur à la Sorbonne, par KAMARA Nabakha l’aboutissement modèle de l’émigration, Sonink’Art veut ainsi élever le débat pour sortir des clichés habituels de stigmatisation. Ce débat a permis de faire la rétrospective du parcours du combattant, mais aussi des réalités multiples des immigrés, les échecs, les désillusions, les incompréhensions et des réussites. Car dans l’imaginaire sooninke, aventure rime avec réussite, mais en intégrant femmes, enfants et sooninkaaxu dans le puzzle juridico institutionnel de France, les processus de socialisation et d’appropriation de cette culture d’accueil constituent un combat à échelle multiple qui peut certes être gagné. Catherine QUIMINAL le précisera au cours du débat que les immigrés sont loin de constituer le lot de ceux qui ignorent leur droit, et d’autre part on parle peu de ceux qui réussissent, et que de plus en plus de jeunes sooninko fréquentent les universités, le tableau n’est pas que sombre.
Ye jarinton xa nawaari. Sonink'Art 2009, de la tradition à la modernité
Cette conférence animée par Catherine QUIMINAL professeur émérite de sociologie et d’anthropologie, par WAGUE Cheikhna Mahamadou historien-doctorant et chercheur à la Sorbonne, par KAMARA Nabakha l’aboutissement modèle de l’émigration, Sonink’Art veut ainsi élever le débat pour sortir des clichés habituels de stigmatisation. Ce débat a permis de faire la rétrospective du parcours du combattant, mais aussi des réalités multiples des immigrés, les échecs, les désillusions, les incompréhensions et des réussites. Car dans l’imaginaire sooninke, aventure rime avec réussite, mais en intégrant femmes, enfants et sooninkaaxu dans le puzzle juridico institutionnel de France, les processus de socialisation et d’appropriation de cette culture d’accueil constituent un combat à échelle multiple qui peut certes être gagné. Catherine QUIMINAL le précisera au cours du débat que les immigrés sont loin de constituer le lot de ceux qui ignorent leur droit, et d’autre part on parle peu de ceux qui réussissent, et que de plus en plus de jeunes sooninko fréquentent les universités, le tableau n’est pas que sombre.