Pour un report de la fermeture - Il était 7H du matin ce mercredi 21 janvier 2009 quand les participants de Bamako à l’atelier de concertation et de communication des mines d’or de Sadiola et de Yatéla, ont embarqué à bord de deux petits avion en destination de Sadiola. Atterrissage à Sadiola après une heure et demie de vol, dans un froid glacial.

Accueil des responsables des mines d’or. Parmi les visiteurs figuraient entre autres le représentant du ministre des mines de l’énergie et de l’eau, des honorables députés de l ’assemblée nationale, la nouvelle ambassadrice du Canada au Mali, des hommes de medias et autres personnalités auxquels s’est ajoutée la délégation régionale de Kayes chef lieu de région.

Les travaux de l’atelier ont enregistré trois interventions à savoir celle du DG de la mine de Sadiola , de l’ambassadrice du Canada et le discours d’ouverture du MMEE prononcé par son représentant Seydou Keïta.

Au moment où certaines dames prient vivement le ciel pour avoir des rejetons, d’autres par contre, enfantent et essayent par tous les moyens de se débarrasser de leurs bébés. Un cas horrible s’est produit à Tambacounda, hier, vers les coups de 16 heures plus précisément dans le village de Thiorobougou, à quelques encablures de la capitale orientale. Un nouveau-né de sexe féminin a été enterré vivant en pleine brousse. Un jeune homme qui se rendait dans le village, a été attiré par le souffle du bébé, qui se dégageait du sable, parce que le trou n’était pas profond. Déterrée, l’enfant a été déposée au centre de santé de Tambacounda par les limiers de Tambacounda. Une enquête est ouverte, pour mettre la main sur l’auteur de cet acte ignoble.

Les habitants du village de Thiorobougou, situé à quelques encablures de Tambacounda, n’en reviennent pas de la découverte macabre qui s’est produit hier, vers les coups de 16 heures. Thiorobougou : un village hors du commun, ne peut que présager des actes peu catholiques. Situé entre les quartiers Liberté, Pont, Plateau à Tambacounda ressemble à un faubourg aux habitations très anciennes et anarchiques, qui contraste avec bien des zones à Tambacounda. Hier, vendredi, en effet, les populations de ce village se sont retrouvées dans la stupeur.

Au lendemain de l’arrestation par les Rwandais du chef de la rébellion congolaise Laurent Nkunda, le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) n’a pas caché sa « satisfaction » et il demande son extradition. Selon Lambert Mende Omalanga, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de Kinshasa, l’arrestation de Nkunda s’inscrit « dans la perspective d’être présenté devant son juge naturel », la justice congolaise. Le chef du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), en fuite devant les armées de Kinshasa et de Kigali, a été appréhendé jeudi, alors qu'il se tenait dans un endroit tenu secret. Il serait en résidence surveillée à Gisenyi, une ville rwandaise située en face de Goma, la capitale de la province congolaise du Nord-Kivu. Des informations circulent au sujet des conditions de cette arrestation, trois jours après l’entrée de plusieurs milliers de soldats rwandais dans l’est de la RDC pour y participer à une opération conjointe avec les forces armées congolaises contre les rebelles hutus rwandais. L’arrestation de Nkunda serait ainsi une contrepartie de Kigali à l’engagement de Kinshasa, en vue du désarmement des rebelles rwandais.