En prélude à la troisième Journée de l'excellence et de la participation du 5 juillet prochain, l'Inspection départementale de l'éducation de Bakel a organisé, ce week-end, un championnat de ‘génie en herbe’ avec en vedette des Collectifs des directeurs d'écoles (Codec). Cette première compétition a vu l'équipe du Codec de Djimbé triompher sur celle de Diawara.
La finale du championnat du ‘génie en herbe’, communément appelé Guesstu, organisé, pour la première fois, par l’Inspection départementale de Bakel (Ide) a vécu le week-end dernier dans les locaux de la salle des fêtes de la ville. Elle a opposé l’équipe du Collectif des directeurs d’école (Codec) de Djimbé à celle du Codec de Diawara. Au finish, c’est l’équipe de Djimbé, regroupant un certain nombre d'écoles dont Dédji, Amadji et Djimbé, qui a remporté la palme avec un total de 32 points contre 26 pour l’équipe de Diawara.
LUTTER CONTRE LE VIH SIDA
L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE APPELLE À UN ENGAGEMENT ET UN FINANCEMENT ACCRUS POUR LUTTER CONTRE LE VIH/SIDA
En dépit de progrès considérables, la propagation de l’épidémie est plus rapide que les moyens mis en œuvre pour la combattre
Malgré l’engagement pris d’assurer un accès universel à la prévention et au traitement d’ici à 2010, le nombre des nouveaux cas de VIH a été deux fois et demie plus élevé en 2007* que le nombre de personnes recevant une thérapie antirétrovirale.
France, Immigration: quand les préfectures tendent des pièges aux sans-papiers
Une enquête de la Cimade dénonce les interpellations et les embuscades de sans-papiers dans les préfectures.
«Nous sommes très préoccupés par ces interpellations devant les préfectures.» Dans une enquête publiée ce mardi et menée entre octobre 2007 et mars 2008 dans un tiers des départements français, la Cimade (Conseil oecuménique d'entraide) s'alarme «des dysfonctionnements» dans l'accueil réservé aux étrangers dans les préfectures.
«Ces lieux devenant potentiellement risqués, trop d'étrangers font dorénavant le choix de rester dans la clandestinité», souligne Sarah Belaïsch, coordonnatrice du rapport.
Douze interpellations en six semaines
Ne détenant aucune estimation globale du nombre d'étrangers interpellés dans ou près des préfectures, cette dernière a cependant indiqué, à titre d'exemple, qu'au cours de six semaines d'observation auprès de la préfecture de Melun (Seine-et-Marne), douze interpellations de ce genre ont eu lieu, la plupart concernant des étrangers venus demander des autorisations de séjour au titre du travail.
FACE A SES DIFFICULTES FINANCIERES : LEtat sendette pour payer ses dettes
BOURSE - Emission de bons et d’obligations du Trésor pour 100 milliards : Le Sénégal va habiller Paul avec l’argent de Pierre
Pour satisfaire ses partenaires multilatéraux et payer les dettes dues aux entreprises privées nationales, le gouvernement, comme il l’avait annoncé, a lancé une émission de bons du Trésor, ainsi que d’obligations du Trésor, pour un montant total de 100 milliards de francs Cfa. Alors que rien ne prouve qu’il soit en mesure de payer des émissions réalisées il y a deux ans, et qui arrivent bientôt à échéance.
L’opération qui avait été annoncée depuis quelque temps, est lancée. L’Etat a annoncé officiellement hier, sa volonté de trouver sur le marché financier sous-régional, les 100 milliards de francs Cfa qu’il souhaite obtenir pour faire face à ses difficultés de trésorerie. Le journal Le Soleil a publié hier, deux annonces de la part de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), et qui informent du lancement de l’opération d’adjudication des obligations du Trésor, pour 60 milliards de francs Cfa, et des bons du Trésor pour 40 milliards de francs Cfa.
Concession du chemin de fer : Les harcèlements du pouvoir ATT
Le président du Collectif pour la restitution et le développement intégré du rail malien (Cocidirail), le docteur Tiécoura Traoré, a été libéré, vendredi dernier par la police, à Kayes. Sa caméra, confisquée le jour de son arrestation, lui a été remise sans la cassette. La marche du Cocidirail, prévue vendredi matin, a été interdite par le maire de la commune III. Malgré tout, le collectif entend poursuivre ses actions en dépit de ce que ses militants considèrent comme des harcèlements du pouvoir qui voudrait les réduire au silence, au découragement et à l’inactivité.
Le pouvoir ATT vire-t-il au despotisme ?