A Bakel, les pères ou mères de famille devront, pour se ravitailler en riz, débourser un peu plus encore. Une hausse du prix de vente est passée par là qui s’expliquerait, selon les commerçants, par la hausse du prix du carburant entraînant une augmentation des frais de transport.
A Bakel, tout se vend cher, trop cher même. Au point qu'on se demande si cette localité fait bel et bien partie du Sénégal. Tellement la vie y est chère qu'elle ne laisse personne indifférent. Cette fois-ci, c'est plutôt le prix de vente du riz qui vient de connaître une hausse au grand dam des pères de famille qui, désormais, pour se ravitailler en riz, entre autres denrées fortement prisées, devront débourser un peu plus. Vendu à 12 000 F Cfa le sac de 50 kg par les détaillants, le prix du riz indien est passé à 12 500 F, soit une hausse de 500 francs. Quant au riz brisé parfumé, son sac de 50 kg, jadis vendu à 13 500 francs, est à présent cédé à 14 000 F, voire plus étant entendu que les prix varient selon les points de vente et les endroits. Or ces variétés de riz, en à croire un commerçant, sont les plus consommées à Bakel.