Baba Tandian, hommes d'affaires, ancien basketteur, ex président de la fédération sénégalaise de Basketball a été l'invité de Tapis rouge de Sen tv. Il dit tout.
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Les habitants de la localité de Boully située au Guidimagha dans le département d’Ould Yengé en Mauritanie souffrent depuis près d’un mois, d’un manque d’approvisionnement en eau potable. Boully a soif !
En effet, les habitants de cette localité, chef lieu de la commune portant le même nom, sont victimes des coupures incessantes. Le délégataire est informé depuis belle lurette, rien y fait. Les habitants attendent sans qu’aucune explication valable et sérieuse ne soit donnée par le superviseur basé à Sélibaby ni par le délégataire à Nouakchott!!!
Cette situation est devenue insupportable pour les habitants. Elle s’empire de jour en jour. Ce n’est pas la première fois, qu’une telle situation se produise, mais cette fois ci, c’est une crise qui s’est installée surement.
Cette rupture continue qui risque d’avoir des effets néfastes en termes de santé, serait due selon des sources sûres, à une panne de la machine principale permettant de remonter l’eau.
Des séries de réparations ont été effectué mais, le changement de la machine s’impose, car elle a vieillit, et n’est plus en mesure d’assurer correctement le fonctionnement. Le système solaire prévu pour le renforcement de la capacité au niveau central n’est pas puissant, et ne permet même pas de ravitailler le ¼ des foyers. Et pourtant les factures continuent de tomber ! La direction de l’hydraulique, maître d’ouvrage du PEGG n’a pas encore réagit, et le délégataire, malgré les appels et cris d’amertumes incessants des habitants, n’a même pas pris la peine de visiter l’installation afin de discuter avec les populations.
Les corps de quelque 170 migrants africains dont l'embarcation a chaviré vendredi au large de la Libye ont été retrouvés, a indiqué lundi un agent des gardes-côtes libyens."Nous avons libéré une centaine de corps qui étaient bloqués dans la cale de l'embarcation en bois de 16 mètres qui a chaviré non loin de la côte", a déclaré cet agent Abdellatif Mohammed Ibrahim. "Il semble que l'embarcation s'est soudainement retournée ne laissant aucune chance à ses occupants", a-t-il ajouté alors que des secouristes du Croissant-Rouge libyen s'affairaient à sortir les corps de l'eau.
Le lieu du drame se situe près de la localité d'Al-Qarabole, à 60 km à l'est de Tripoli. Selon lui, quelque 70 autres corps qui n'ont pas été piégés dans l'embarcation ont été rejetés par la mer, dont ceux de cinq enfants en bas âge. Faute de papiers, les secouristes n'ont pu établir une liste des victimes et déterminer avec précision leurs nationalité. Seize personnes avaient survécu au chavirement du bateau vendredi, avait alors indiqué M. Ibrahim en faisant état à ce moment-là de 15 corps retrouvés. "Tout ce qu'on sait d'après les rares papiers retrouvés c'est que des Ethiopiens et des Eryhtréens figuraient parmi les victimes", a-t-il dit. Les opérations de secours ont pris du temps en raison d'un "grand manque de moyens des gardes-côtes libyens", a poursuivi cet agent.
Après les portraits de Mansa Moussa et de Jimmy Souleymane Berthé, jeunes franco-maliens qui bougent, RP Médias s’est intéressé au parcours de Diadié Soumaré.
Diadié a fait le pari de l’entreprenariat au Mali. Voila près de 3 ans déjà qu’il a ouvert son Apple Store dans la capitale du Mali. A travers cette vidéo, il nous explique son cheminement et les obstacles qu’il a rencontré tout en livrant de précieux conseils à tous ceux qui comme lui voudraient tenter l’aventure au Mali.
C’est « grelottante dans des vêtements trempés et sans ses parents » que les secouristes espagnols ont découvert une fillette de quelques mois parmi les occupants d’un canot gonflable parti du Maroc pour rejoindre l’Europe dans la nuit du 12 août, raconte le journal El Pais.
L’arrivée d’enfants sur les rivages du sud de l’Espagne n’est pas rare. Parmi les onze migrants présents dans l’embarcation de fortune, il y avait deux autres bébés, et deux femmes enceintes. Mais pour la première fois, la fillette est arrivée seule. Sans papiers et sans parents. « Je l’ai prise dans mes bras pour la sortir du bateau et quand tous les autres sont descendus, nous avons réalisé qu’elle était seule », a raconté une bénévole de la Croix-Rouge au quotidien La voz de Galicia.
Pendant plusieurs jours, le bébé de 11 mois, dont le sort émeut l’Espagne, a été appelée « Princesse », car « les bénévoles et les secouristes refusaient de la rebaptiser ». El Pais, alors fataliste, considérait que la petite allait « se retrouver dans un centre de rétention pour enfants ».
Rapidement, « les autres occupants du bateau ont raconté que la famille du bébé avait essayé de monter dans l’embarcation mais qu’une altercation avec les gendarmes marocains les en avait empêchés », relate le quotidien La Razón dans l’un des nombreux articles consacrés par la presse espagnole à celle dont « le visage est devenu l’incarnation de la crise ». Le bateau était finalement parti sans eux.