Journées culturelles des Soninké de Hamady Ounaré.
Journées culturelles des Soninké de Hamady Ounaré.
Le nouveau Représentant spécial du Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (Onu), le Professeur Abdoulaye Bathily, qui jouit d’une solide expérience politique, diplomatique et universitaire, est arrivé à Libreville dans la nuit du 2 au 3 juin 2014. Il va également remplacer Abou Moussa, parti à la retraite, à la tête du Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (Unoca).
Nommé, le 30 avril 2014, Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu et chef du Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale, le Professeur Abdoulaye Bathily, de nationalité sénégalaise, est arrivé à Libreville, ville abritant le siège de cette institution, dans la nuit du 2 au 3 juin 2014.
Dans le communiqué annonçant sa promotion, le Secrétaire général de l’Onu soulignait que M. Bathily jouissait d’une solide expérience politique, diplomatique et universitaire acquise au sein du gouvernement de son pays, d’institutions académiques et, plus récemment, dans le système des Nations Unies. Depuis juillet 2013, il occupait le poste de Représentant spécial adjoint du Secrétaire général à la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA). Il y était chargé, entre autres, des dossiers relatifs aux affaires politiques et aux droits de l’homme.
Avant d’entrer aux Nations Unies, le Professeur Abdoulaye Bathily avait assumé plusieurs fonctions gouvernementales. Il a été notamment ministre d’Etat auprès du président de la République du Sénégal en 2012 après avoir été ministre de l’Environnement et de la Protection de la nature (1993-1998), puis de l’Energie et de l’Hydraulique (2000-2001). Élu député en 1998, il a été vice-président de l’Assemblée nationale de son pays de 2001 à 2006. Pendant cette période, le Professeur Abdoulaye Bathily a également siégé au Parlement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Il avait aussi apporté son expertise au Groupe de contact de l’Union africaine (UA) sur Madagascar lors de la crise politique dans ce pays.
Dakar, 28 mai (APS) - La chaleur sera de mise sur tout le territoire sénégalais, au cours de la journée de jeudi, avec un pic de 46°C à Matam (Nord-Est) et ses environs, annonce l’Agence nationale de l'aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Dans un bulletin transmis à l’APS, mercredi soir, l’ANACIM prévoit également des hausses de températures à Goudiry et Bakel (45°C), à Diourbel (43°C), à Kaolack et Fatick (42°C).
Sur le reste du pays, les températures varieront entre 29°C à Dakar et 40°C à Louga, Kolda et Kédougou, souligne la même source.
Elle indique que les visibilités resteront bonnes, mais pourraient être réduites par de la poussière en suspension sur la moitié Nord et le Centre-ouest du pays.
''Les vents seront généralement de Nord à Nord-est et d’intensités faibles à modérées devenant assez fortes sur le littoral'', selon l'ANACIM.
AD/OID
Source: APS (Agence de Presse Sénégalaise)
Dakar – Le gouvernement malien a signé vendredi soir un accord de cessez-le-feu, qui avait déjà été paraphé quelques heures auparavant par trois groupes armés présents dans le nord du Mali à l’issue de discussions avec le président de l’Union africaine (UA), a annoncé l’ONU
Le chef de la mission de l’ONU au Mali, Albert Gerard Koenders (dit Bert Koenders, NDLR) annonce qu’à 21H30 (locales et GMT) ce vendredi 23 mai 2014, un accord de cessez-le-feu a été signé entre le gouvernement du Mali et le MNLA, HCUA et le MAA, a déclaré la Minusma dans un communiqué reçu par l’AFP à Dakar.
Le cessez-le-feu est en entré en vigueur dès sa signature, ce qui a été le cas vers 16H30 par les groupes armés à Kidal, et vers 21H30 à Bamako par le gouvernement malien à travers le ministre malien de l’Intérieur, a précisé le président Aziz à l’antenne de la télévision publique malienne ORTM.
Ce qu’il (le président Aziz) a obtenu (…) est admirable, (…) un cessez-le-feu dont nous avons besoin, a comment son homologue malien Ibrahim Boubacar Keïta, également à l’antenne de l’ORTM.
De violents combats ont opposé le 17 mai à Kidal les forces maliennes et les groupes armés, composés essentiellement de Touareg mais aussi d’Arabes et d’autres communautés présentes dans le Nord.
Les rebelles ont pris le contrôle de la ville, traditionnellement fief de Touareg, mais aussi de Ménaka (660 km au sud de Kidal), selon l’ONU, à l’issue de nouveaux affrontements meurtriers mercredi. Bamako avait déclaré un cessez-le-feu unilatéral dès mercredi soir.
Selon le communiqué de la Minusma, les différentes parties ayant signé l’accord ont convenu de la cessation des hostilités sur toute l’étendue du territoire national, de revenir à l’accord préliminaire du 18 juin 2013 qu’elles ont signé à Ouagadougou pour une reprise immédiate des négociations avec le soutien des Nations unies et ses partenaires régionaux et internationaux.
Bamako et les groupes rebelles ont également convenu de la libération des prisonniers dans les meilleurs délais, de faciliter les opérations humanitaires des Nations unies et autres partenaires humanitaires, et de respecter les principes de droit humanitaire en vigueur, a ajouté la Minusma.
Ils sont enfin tombés d’accord sur la mise en place d’une commission internationale d’enquête relative aux événements survenus, en commençant par Kidal, a-t-elle indiqué.
(©AFP / 24 mai 2014 01h50)
Source: AFP