La ville de Waoundé est aujourd’hui isolée du reste du monde en matière de télécommunication.
En effet, cela fait maintenant plus d’une semaine que l’antenne émettrice de la Sonatel/Orange est tombée en panne. Elle aurait été endommagée par la foudre lors des dernières pluies diluviennes.
Depuis, plus rien ne fonctionne. Dans toute la ville et aux alentours, les téléphones portables ne captent plus le réseau. Les téléphones fixes n’ont plus de tonalité et l’internet ne marche plus non plus.
Les populations sont obligées de se déplacer jusqu’aux villages d’Amedi Ounaré ou de Semmé pour pouvoir passer des coups de fil ou en recevoir ou juste pour se connecter à Internet.
L’agence de la banque CBAO de Waoundé est, elle aussi, très durement touchée puisqu’aucun mouvement de fonds ne peut se faire tant que le réseau est inaccessible. Le personnel est au chômage technique et les usagers ne peuvent plus faire de retrait d’argent. Les agences Western Union vivent la même situation.
En effet, cela fait maintenant plus d’une semaine que l’antenne émettrice de la Sonatel/Orange est tombée en panne. Elle aurait été endommagée par la foudre lors des dernières pluies diluviennes.
Depuis, plus rien ne fonctionne. Dans toute la ville et aux alentours, les téléphones portables ne captent plus le réseau. Les téléphones fixes n’ont plus de tonalité et l’internet ne marche plus non plus.
Les populations sont obligées de se déplacer jusqu’aux villages d’Amedi Ounaré ou de Semmé pour pouvoir passer des coups de fil ou en recevoir ou juste pour se connecter à Internet.
L’agence de la banque CBAO de Waoundé est, elle aussi, très durement touchée puisqu’aucun mouvement de fonds ne peut se faire tant que le réseau est inaccessible. Le personnel est au chômage technique et les usagers ne peuvent plus faire de retrait d’argent. Les agences Western Union vivent la même situation.
Aux dernières nouvelles, des techniciens de la Sonatel/Orange seraient déjà sur place, mais peinent toujours à trouver l’origine de la panne et à décanter la situation.
Les populations, elles, commencent à perdre patience et expriment leur ras-le-bol face à cette situation qui ne fait que perdurer à seulement quelques jours de la fête de la Tabaski.
Les gens en veulent à la Sonatel/Orange qui aurait mis du temps avant d’envoyer des techniciens plusieurs jours après la déclaration du sinistre et interprètent cela comme un manque de considération à leur égard.
La Sonatel/Orange va-t-elle obliger les abonnés de cette localité à payer plein pot pour ce mois d’octobre après ce calvaire? C’est la question qui est sur toutes les lèvres aujourd’hui.
Fodyé Cissé, Waounde.com