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L'A.P.S. ( Association pour la Promotion de la langue Soninké) a le plaisir de vous convier à son Assemblée Générale ordinaire.
9, rue Génin
Documentaire : 160 ans après l'abolition de l'esclavage : L’identité au cœur de la question noire.
(MFI) De la traite négrière à la colonisation, des tirailleurs aux immigrés, Noirs, un documentaire d’Arnaud Ngatcha sorti en 2006, questionne l’identité des Noirs de France et des Antilles. Et mesure l’impact qu’ont encore aujourd’hui la traite négrière et l’idéologie coloniale dans les mentalités des uns et des autres. Un film maintenant disponible en Dvd. A voir absolument.
Ile de Gorée, au large de Dakar. ‘Si les murs pouvaient parler’, dit une pancarte, grossièrement écrite à la main qui résume l’esprit de ce lieu de mémoire. Un public métissé écoute, la mine contrite, le conservateur de la Maison des esclaves, Boubacar Joseph Ndiaye, raconter les conditions terribles faites aux esclaves avant ‘la séparation totale’. Hommes, femmes et enfants razziés avec des complicités locales empruntaient ici la ‘Porte du voyage sans retour’. Alignés comme du bétail dans les fonds de cales des navires négriers, enchaînés, ils traversaient l’Atlantique en direction des plantations des Amériques : Louisiane, Brésil, Antilles, Cuba ou Haïti. Etalée sur trois siècles (1536-1848), la Traite des Noirs a fait quelque 11 millions de déportés – dont un quart a péri en route.
Echanges sur l'aménagement du territoire et la foresterie. L'atelier d’'change d’expériences ouvert à Tambacounda entre la délégation du Conseil régional de Kayes (Mali) et celui de Tambacounda a permis la mise à niveau sur les politiques nationales en matière d’aménagement du territoire, de gestion des ressources naturelles (avec un accent sur la gomme arabique), la planification et le développement local.
Dans le cadre du partenariat qui existe entre les deux institutions, le voyage d’études à Tambacounda a permis la mise en oeuvre d’un projet d’animation territoriale qui s’articule, selon le Pr. Abdoul Aziz Tandia, directeur du Pndl, sur la problématique du développement de la filière. Les deux délégations ont aussi planché sur l’élaboration du processus d’aménagement du territoire à travers les filières forestières, les échanges sur l’aménagement du territoire et la foresterie.
Le chauffeur Massaère Samb et Gaye Ndiaye morts sur le coup restent coincés dans la cabine du véhicule. Alors que Mbaye Samb gravement blessé est évacué à l'hôpital de Bakel. C’est le bilan triste de l’accident du camion Immatriculé DK 7892 R tombé dans le fossé du pont de Moribougou. L’infrastructure coupée en deux depuis plus d’un mois. En partance de Kidira pour Ourossogui l’accident est survenu le lundi 20 octobre 2008 dernier à hauteur du village de Béma situé à 13 kilométres de Bakel. Ce triste bilan a fini de plonger les bakélois dans l’émoi et dans la consternation. L’heure les conjectures vont bon train. Les usagers entre autres habitués de l’axe Bakel-Kidira pointent un doigt d’accusateur sur les autorités publiques de négligence. Par ailleurs l’urgence qualifiée par rapport au comportement des chauffeurs. A rappeler que ce fameau pont est coupé en deux depuis plus de deux(2) mois suite aux fortes pluies tombées lors de l’hivernage passée. Les autorités ont préféré une déviation sous prétexte de réfectionner le pont à la fin de l’hivernage. 
DAKAR, 21 octobre 2008 (IRIN) - Des dizaines de jeunes Mauritaniens récemment rapatriés du Sénégal retraversent la frontière pour retourner au sein de communautés de réfugiés installés dans le pays de longue date, les écoles mauritaniennes n’étant pas prêtes à les accueillir, selon ces jeunes.
Hadry Yaro, 18 ans, est retourné à Dodel, dans le nord du Sénégal, le 17 octobre. « Il n’y avait pas de classes pour nous [en Mauritanie]. On aurait dit que personne ne s’attendait à ce qu’on soit là. Je dois terminer l’école, alors je suis rentré seul et je vis avec mon oncle à Dodel ».
Depuis que des violences ethniques et des mesures de sécurité sévères ont forcé des dizaines de milliers de Mauritaniens, noirs pour la plupart, à quitter le pays, il y a près de 20 ans, une majorité d’entre eux se sont installés dans les communautés de Dodel et de N'dioum, près de là, et des milliers vivent au Mali.
