C'est devenu une habitude : à chaque fois que les fortes pluies s'abattent sur le département de Podor, l'Ile à Morphil est coupée du monde. L'accès à cette zone devient difficile.
Les fortes pluies enregistrées ces derniers jours ont fortement éprouvé les populations de l'Ile à morphil, dans le département de Podor.
Les intempéries et le débordement du fleuve ont fait qu'il est devenu impossible de se rendre dans les villages de cette l'île.
Des véhicules en partance vers Cas-Cas, Démette, Walaldé, Ndormboss, Sinthiou Dangdé, Pathé Gallo et Dara Alaybé sont obligés de s'arrêter au village de Dodel.
Les eaux de crue qui avancent vite ont atteint quelques concessions de ce village chef-lieu de communauté rurale.
Conséquences : il est impossible d'utiliser le bac de Dodel ni celui de Toufndé Boubou. La seule issue qui vaille pour se rendre dans l'île est de prendre des charrettes pour un long trajet de trois heures afin d'arriver à destination.
Avec cette situation qui n'est pas nouvelle chez les insulaires, les populations devront rester deux à trois mois pour encore espérer voir la couleur d'un véhicule. Qui disait que c'est fini pour le calvaire des populations avec les constructions des ponts de Ngouye et de Madina Ndiatbé ?
Les intempéries et le débordement du fleuve ont fait qu'il est devenu impossible de se rendre dans les villages de cette l'île.
Des véhicules en partance vers Cas-Cas, Démette, Walaldé, Ndormboss, Sinthiou Dangdé, Pathé Gallo et Dara Alaybé sont obligés de s'arrêter au village de Dodel.
Les eaux de crue qui avancent vite ont atteint quelques concessions de ce village chef-lieu de communauté rurale.
Conséquences : il est impossible d'utiliser le bac de Dodel ni celui de Toufndé Boubou. La seule issue qui vaille pour se rendre dans l'île est de prendre des charrettes pour un long trajet de trois heures afin d'arriver à destination.
Avec cette situation qui n'est pas nouvelle chez les insulaires, les populations devront rester deux à trois mois pour encore espérer voir la couleur d'un véhicule. Qui disait que c'est fini pour le calvaire des populations avec les constructions des ponts de Ngouye et de Madina Ndiatbé ?