Après quelques échanges amicaux , le téléphone n’arrête pas de sonner…le jeune franco-malien est à la tête d’une entreprise qui opère dans plusieurs secteurs (musique, mode, sport, cinéma…). Comme à son habitude, DAWALA fait des coups d’éclats ; comme c’était le cas avec le succès phénoménal du groupe de RAP Sexion d’Assaut produit par son Label WATI B. Cette fois c’est dans le milieu du football français, avec Montpelier HSC, champion de France… que WATI B refait sensation. Et pour l’occasion, DAWALA s’est livré à MaliFootball…
Comment votre marque, WATI-B, a-t-elle noué un partenariat de sponsoring avec le club de football, Montpellier HSC, Champion de France 2012 ?
Dawala Avant d’être producteur, je suis un amateur du football. D’ailleurs l’une de mes premières compiles est « Pur Son Guetto » qui veut dire PSG…. j’ai toujours été baigné le football et je suis très heureux de ce partenariat. Il y a eu une occasion, cette possibilité de poser une marque sur les shorts de clubs de football en France et je voulu être le premier à faire cela. Je savais que cela ferait du buzz et je ne me suis pas trompé. Je vois que tout les medias en parlent et c’était cela que j’attendais.
Comment votre marque, WATI-B, a-t-elle noué un partenariat de sponsoring avec le club de football, Montpellier HSC, Champion de France 2012 ?
Dawala Avant d’être producteur, je suis un amateur du football. D’ailleurs l’une de mes premières compiles est « Pur Son Guetto » qui veut dire PSG…. j’ai toujours été baigné le football et je suis très heureux de ce partenariat. Il y a eu une occasion, cette possibilité de poser une marque sur les shorts de clubs de football en France et je voulu être le premier à faire cela. Je savais que cela ferait du buzz et je ne me suis pas trompé. Je vois que tout les medias en parlent et c’était cela que j’attendais.
Poser une marque sur le dos d’un short est un concept inédit en France, d’où est venu cette idée ?
La ligue nationale du football professionnel de France a autorisé les clubs de football à recourir à ce type sponsoring ; les délais été trop courts, par rapport, au début du championnat français. Il fallait donc être très réactif et surtout mettre en place les budgets y compris la promotion. Je suis le producteur du groupe « Sexion d’Assaut » n°1 du rap français, je suis propriétaire de la marque de sportwear WATI-B qui est aussi n°1 sur sa cible : c’est tout à fait normal que je collabore avec le club de Montpellier HSC, champion de France et n°1 du football français. C’est la rencontre des numéros 1 ! Nous avons donc sponsorisé un club qui est à notre image : l’esprit famille, avec son Président Louis Niccolin, les joueurs…L’année dernière ils ont cravaché très dur pour finir leaders du championnat français de football, avec les moyens du bord. Ils ont joué avec le cœur et ils ont réussi.
Votre label WATI-B est plus connu dans le milieu de la musique, même si vous avez eu à sponsoriser quelques sportifs, et là vous rentrez dans une autre dimension: le sponsoring d’un club de football et pas des moindres ….
J’ai l’habitude de soutenir les jeunes de mon quartier, en France ou au Mali. Je sponsorise aussi le boxeur franco-malien Mohamed Diaby. Il y a aussi des personnes qui nous ont soutenus qu’il ne faudra pas oublier. Si nous sommes là c’est aussi grâce à certains soutiens comme le footballeur ivoirien Gervinho qui porte tout le temps la casquette WaTI-B : je tiens à la remercier.
Qui est vraiment Dawala ?
Je suis un jeune franco-malien. Je suis né en France, j’ai rejoins le Mali à l’âge de 1 an où j’ai passé mon enfance dans la ville de Nioro du Sahel. De retour en France, j’ai atterrit dans le 18è puis dans le 19è arrondissement de Paris. Mon vrai patronyme c’est Dadia Diakité de la famille Diakité Kaba de Nioro du Sahel au Mali. DAWALA vient de mon prénom et du mot soninké « AWARA » qui signifie « lâches ça !» : à mon retour en France, je jouais au football avec mes amis et je ne parlais pas bien de français. Donc je leur disais en soninké « AWARA / lâches-le ballon » et comme eux aussi ne me comprenaient pas ils m’appelaient « DAWALA » et depuis ce nom est resté.
La ligue nationale du football professionnel de France a autorisé les clubs de football à recourir à ce type sponsoring ; les délais été trop courts, par rapport, au début du championnat français. Il fallait donc être très réactif et surtout mettre en place les budgets y compris la promotion. Je suis le producteur du groupe « Sexion d’Assaut » n°1 du rap français, je suis propriétaire de la marque de sportwear WATI-B qui est aussi n°1 sur sa cible : c’est tout à fait normal que je collabore avec le club de Montpellier HSC, champion de France et n°1 du football français. C’est la rencontre des numéros 1 ! Nous avons donc sponsorisé un club qui est à notre image : l’esprit famille, avec son Président Louis Niccolin, les joueurs…L’année dernière ils ont cravaché très dur pour finir leaders du championnat français de football, avec les moyens du bord. Ils ont joué avec le cœur et ils ont réussi.
Votre label WATI-B est plus connu dans le milieu de la musique, même si vous avez eu à sponsoriser quelques sportifs, et là vous rentrez dans une autre dimension: le sponsoring d’un club de football et pas des moindres ….
J’ai l’habitude de soutenir les jeunes de mon quartier, en France ou au Mali. Je sponsorise aussi le boxeur franco-malien Mohamed Diaby. Il y a aussi des personnes qui nous ont soutenus qu’il ne faudra pas oublier. Si nous sommes là c’est aussi grâce à certains soutiens comme le footballeur ivoirien Gervinho qui porte tout le temps la casquette WaTI-B : je tiens à la remercier.
Qui est vraiment Dawala ?
Je suis un jeune franco-malien. Je suis né en France, j’ai rejoins le Mali à l’âge de 1 an où j’ai passé mon enfance dans la ville de Nioro du Sahel. De retour en France, j’ai atterrit dans le 18è puis dans le 19è arrondissement de Paris. Mon vrai patronyme c’est Dadia Diakité de la famille Diakité Kaba de Nioro du Sahel au Mali. DAWALA vient de mon prénom et du mot soninké « AWARA » qui signifie « lâches ça !» : à mon retour en France, je jouais au football avec mes amis et je ne parlais pas bien de français. Donc je leur disais en soninké « AWARA / lâches-le ballon » et comme eux aussi ne me comprenaient pas ils m’appelaient « DAWALA » et depuis ce nom est resté.
En tout cas ce nom vous a porté chance…
Oui (rires) ! On peut le dire ! Et je suis quelqu’un qui observe beaucoup, très attentif et aussi respectueux envers tous. Si nous avons pu percer c’est que nous avons observé nos grands frères, qui avaient créé des labels musicaux avant nous…ce qui était leurs forces et faiblesses.