Trois organisations de défense des droits de l’homme, basées à Dakar, réclament l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire sur la mort suspecte d’Aladji Konaté, à Bakel (est), a appris l’APS auprès des protestataires.
"Amnesty International Sénégal, la LSDH et la RADDHO exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire sur ce crime odieux et que les responsables soient traduits en justice’’, signalent les responsables des trois organisations dans un communiqué transmis à l’APS.
Selon le texte, Amnesty international Sénégal, la Ligue sénégalaise des droits de l’homme et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) "sont indignées par le décès, après son arrestation par des gendarmes, du jeune Aladji Konaté de Bakel".
"Le corps sans vie d’Aladji Konaté nu, menotté et portant des traces de torture a été découvert le 29 mars 2011 sur les bords du fleuve Sénégal à Bakel. Il aurait été inhumé sans qu’une autopsie ne soit pratiquée pour déterminer les circonstances exactes de sa mort", ajoutent les protestataires.
"Amnesty International Sénégal, la LSDH et la RADDHO exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire sur ce crime odieux et que les responsables soient traduits en justice’’, signalent les responsables des trois organisations dans un communiqué transmis à l’APS.
Selon le texte, Amnesty international Sénégal, la Ligue sénégalaise des droits de l’homme et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) "sont indignées par le décès, après son arrestation par des gendarmes, du jeune Aladji Konaté de Bakel".
"Le corps sans vie d’Aladji Konaté nu, menotté et portant des traces de torture a été découvert le 29 mars 2011 sur les bords du fleuve Sénégal à Bakel. Il aurait été inhumé sans qu’une autopsie ne soit pratiquée pour déterminer les circonstances exactes de sa mort", ajoutent les protestataires.
Au-delà de cette mort, les trois organisations rappellent "celles de toutes les personnes décédées en détention ou des suites d’un usage excessif ou illégal de la force par les forces de sécurité", en les mettant "sur le compte de l’impunité que l’Etat a choisi d’accorder à ces agents".