Durant la nuit du 08/04/11, un infirmier chef de poste à Souvi dans la région du Guidimakha a été reveillé vers 2 h du matin par un groupe de malfrats armés lui demandant les recettes de la pharmacie de l'infirmerie.
Ayant refusé d'obtempérer il fut sauvagement fusillé au bras et laissé entre la vie et la mort avant d'etre secouru par les habitants du village et évacué d'urgence à Nouakchott ; les gendarmes ne sont venus que plusieurs heures plus tard.
Deux nuits auparavant, en plein centre ville de Selibaby, chef lieu de la région, un gérant d'une station d'éssence a lui été obligé de remettre 600.000 um à des bandits armés. Aout 2009, un gardien a été sauvagement agréssé à la tete à Selibaby à moins de 100 m de la maison du gouverneur.
C'est dire que l'insecurité est courante au Guidimakha et rien n'est fait pour aider les populations à retrouver la tranquillité, ni par les premiers chefs, les policiers, ni par nos politiques qui ne font rien pour attirer l'attention des pouvoirs de Nouakchott sur ce fléau.
Ayant refusé d'obtempérer il fut sauvagement fusillé au bras et laissé entre la vie et la mort avant d'etre secouru par les habitants du village et évacué d'urgence à Nouakchott ; les gendarmes ne sont venus que plusieurs heures plus tard.
Deux nuits auparavant, en plein centre ville de Selibaby, chef lieu de la région, un gérant d'une station d'éssence a lui été obligé de remettre 600.000 um à des bandits armés. Aout 2009, un gardien a été sauvagement agréssé à la tete à Selibaby à moins de 100 m de la maison du gouverneur.
C'est dire que l'insecurité est courante au Guidimakha et rien n'est fait pour aider les populations à retrouver la tranquillité, ni par les premiers chefs, les policiers, ni par nos politiques qui ne font rien pour attirer l'attention des pouvoirs de Nouakchott sur ce fléau.
Le Guidimakha, région frontalière au Mali et au Senegal est à la merci de tous les trafiques : drogues, alcool.....
Je lance un grand SOS à toutes les bonnes volontés pour aider des pauvres citoyens qui ne demandent rien qu'à vivre libres dans leur pays.
Source: Mamadou Dramé via Cridem.org