La Ligue démocratique (LD) a choisi Moustapha Niasse comme candidat de l’unité et du rassemblement de la coalition Bennoo Siggil Senegal (BSS), a déclaré son Secrétaire général, Abdoulaye Bathily, estimant que le leader de l’AFP est ‘’le meilleur candidat’’.
‘’Que cela soit très clair’’, a martelé M. Bathily, également membre du groupe de facilitation pour la candidature de l’unité de BSS, interrogé par la RFM. Il a appelé ‘’tout le monde autour de la candidature’’ de M. Niasse.
A propos du maintien de la candidature de Ousmane Tanor Dieng, le leader de la LD fait état d’un ‘’constat’’, non sans souligner que 19 partis sur 33 ‘’se sont clairement prononcés’’ en faveur du patron de l’AFP.
Quelque 14 autres partis ‘’ne se sont pas prononcés’’, a constaté aussi M. Bathily estimant qu’il faut ‘’aller au combat contre (Abdoulaye) Wade et son régime’’.
La recherche du candidat de l’unité ‘’n’a pas abouti’’, selon le Secrétaire général de la LD qui fait part de son ‘’regret’’ après les ‘’engagements’’ pris devant leurs militants et sympathisants.
A propos d’unité, Abdoulaye Bathily pense que ‘’l’intérêt du Sénégal allait prévaloir (…)’’. Il a appelé à ‘’tourner cette page’’. Pour lui, ‘’une majorité de partis s’est clairement prononcée en faveur de Moustapha Niasse’’.
‘’Que cela soit très clair’’, a martelé M. Bathily, également membre du groupe de facilitation pour la candidature de l’unité de BSS, interrogé par la RFM. Il a appelé ‘’tout le monde autour de la candidature’’ de M. Niasse.
A propos du maintien de la candidature de Ousmane Tanor Dieng, le leader de la LD fait état d’un ‘’constat’’, non sans souligner que 19 partis sur 33 ‘’se sont clairement prononcés’’ en faveur du patron de l’AFP.
Quelque 14 autres partis ‘’ne se sont pas prononcés’’, a constaté aussi M. Bathily estimant qu’il faut ‘’aller au combat contre (Abdoulaye) Wade et son régime’’.
La recherche du candidat de l’unité ‘’n’a pas abouti’’, selon le Secrétaire général de la LD qui fait part de son ‘’regret’’ après les ‘’engagements’’ pris devant leurs militants et sympathisants.
A propos d’unité, Abdoulaye Bathily pense que ‘’l’intérêt du Sénégal allait prévaloir (…)’’. Il a appelé à ‘’tourner cette page’’. Pour lui, ‘’une majorité de partis s’est clairement prononcée en faveur de Moustapha Niasse’’.
Le leader de l’AFP, M. Niasse, désigné jeudi candidat de Bennoo Siggil Senegal, entend se mettre rapidement au travail avec d’autres secteurs de la société.
Interrogé par la RFM, M. Niasse a évoqué une ‘’responsabilité qui pèse sur (ses) épaules)’’ et écarté ‘’toute polémique’’ après le vote de la conférence des leaders de BSS.
Quelque 19 partis sur 33 se sont prononcés en faveur de Moustapha Niasse, 14 autres ont opté pour l’abstention. Moustapha Niasse a estimé qu’il détient la ‘’majorité’’ des voix avec ce vote.
Le leader de l’AFP a indiqué qu’il se mettait au travail et compte élargir la coalition aux jeunes, aux femmes, au patronat, bref, à la société civile, tandis que le Secrétaire général du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng, a déclaré qu’il maintenait sa candidature.
En octobre dernier, les responsables de "Bennoo" s’étaient accordés sur de nouveaux délais "les meilleurs" pour désigner Moustapha Niasse ou Ousmane Tanor Dieng comme leur "candidat de l’unité et du rassemblement" à l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Bennoo Siggil Senegaal est une coalition qui regroupe surtout des partis d’opposition et des organisations société civile qui ont pris part aux Assises nationales (1er juin 2008 – 24 mai 2009).
Lors des élections locales de 2009, la coalition avait remporté de grandes villes comme Dakar, Saint-Louis, Kaolack, Louga et d’autres collectivités locales.
Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng sont deux anciens rivaux dans le Parti socialiste d’avant Alternance. Aujourd’hui, ils considérés comme les poids lourds de l’opposition sénégalaise, en raison de leurs personnalités, parcours et soutiens respectifs. Ces opposants s’appuient aussi sur la société civile, pour revenir aux affaires.
M. Dieng a hérité du parti, le plus vieux de l’échiquier sénégalais, tandis que le second a quitté avec fracas en juin 1999 cette formation pour fonder l’AFP, qui a soutenu, contre le socialiste Abdou Diouf, l’élection en mars 2000 du président libéral Abdoulaye Wade, leur adversaire commun 12 ans plus tard.
Interrogé par la RFM, M. Niasse a évoqué une ‘’responsabilité qui pèse sur (ses) épaules)’’ et écarté ‘’toute polémique’’ après le vote de la conférence des leaders de BSS.
Quelque 19 partis sur 33 se sont prononcés en faveur de Moustapha Niasse, 14 autres ont opté pour l’abstention. Moustapha Niasse a estimé qu’il détient la ‘’majorité’’ des voix avec ce vote.
Le leader de l’AFP a indiqué qu’il se mettait au travail et compte élargir la coalition aux jeunes, aux femmes, au patronat, bref, à la société civile, tandis que le Secrétaire général du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng, a déclaré qu’il maintenait sa candidature.
En octobre dernier, les responsables de "Bennoo" s’étaient accordés sur de nouveaux délais "les meilleurs" pour désigner Moustapha Niasse ou Ousmane Tanor Dieng comme leur "candidat de l’unité et du rassemblement" à l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Bennoo Siggil Senegaal est une coalition qui regroupe surtout des partis d’opposition et des organisations société civile qui ont pris part aux Assises nationales (1er juin 2008 – 24 mai 2009).
Lors des élections locales de 2009, la coalition avait remporté de grandes villes comme Dakar, Saint-Louis, Kaolack, Louga et d’autres collectivités locales.
Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng sont deux anciens rivaux dans le Parti socialiste d’avant Alternance. Aujourd’hui, ils considérés comme les poids lourds de l’opposition sénégalaise, en raison de leurs personnalités, parcours et soutiens respectifs. Ces opposants s’appuient aussi sur la société civile, pour revenir aux affaires.
M. Dieng a hérité du parti, le plus vieux de l’échiquier sénégalais, tandis que le second a quitté avec fracas en juin 1999 cette formation pour fonder l’AFP, qui a soutenu, contre le socialiste Abdou Diouf, l’élection en mars 2000 du président libéral Abdoulaye Wade, leur adversaire commun 12 ans plus tard.