Alerte : La ville de Kaédi sous le terrorisme d’état : « Kaédi n’a pas marché mais plutôt bastonné » dixit Bathilly Bakary président du mouvement des étudiants de Kaédi.
Nous condamnons fermement la barbarie policière en cours à Kaédi, ville qui se situe à 420km de Nouakchott capitale de la Mauritanie. Les manifestants pacifiques qui dénonçaient l’enrôlement racial qui exclut les noirs ont été violement pris à parti par la police Mauritanienne, ils ont été sauvagement battus, certains lynchés devant les parents pour semer la terreur. Le pouvoir du général Aziz a fait reculer la Mauritanie de deux décennies en arrière en trois ans de règne. Le putsch « récitatif » selon les termes du général Aziz est en phase de se transformer en terrorisme d’état sans ambigüité depuis le début de son ère. Nous avons compris le sens du rectificatif dès le début, la grande miette soldatesque accusait le civil Sidi Ould Cheikh Abdallahi démocratiquement élu, qu’il n’en est pas question de suivre les principes de la démocratie. Nous voici à nouveau entre les mâchoires d’une dictature avec le pseudonyme de la démocratie. Les autorités Mauritaniennes infiltrent les manifestants pour commettre des actes de violences gratuites afin de pouvoir arrêter les jeunes manifestants. Nous apportons notre soutien indéfectible à la ville de Kaédi sous les feux de la barbarie policière actuellement.
Nous condamnons fermement la barbarie policière en cours à Kaédi, ville qui se situe à 420km de Nouakchott capitale de la Mauritanie. Les manifestants pacifiques qui dénonçaient l’enrôlement racial qui exclut les noirs ont été violement pris à parti par la police Mauritanienne, ils ont été sauvagement battus, certains lynchés devant les parents pour semer la terreur. Le pouvoir du général Aziz a fait reculer la Mauritanie de deux décennies en arrière en trois ans de règne. Le putsch « récitatif » selon les termes du général Aziz est en phase de se transformer en terrorisme d’état sans ambigüité depuis le début de son ère. Nous avons compris le sens du rectificatif dès le début, la grande miette soldatesque accusait le civil Sidi Ould Cheikh Abdallahi démocratiquement élu, qu’il n’en est pas question de suivre les principes de la démocratie. Nous voici à nouveau entre les mâchoires d’une dictature avec le pseudonyme de la démocratie. Les autorités Mauritaniennes infiltrent les manifestants pour commettre des actes de violences gratuites afin de pouvoir arrêter les jeunes manifestants. Nous apportons notre soutien indéfectible à la ville de Kaédi sous les feux de la barbarie policière actuellement.
Témoignages audio des acteurs du mouvement Touche Pas à ma Nationalité :
Bakary Bathily :
Abdoul Birane Wane :
Source: http://haratine.blogspot.com