Au moment où les mauritaniens fêtaient le cinquantenaire de l’indépendance nationale de leur pays, les prix des denrées de première nécessité continuaient leur montée en flèche et ce apparemment dans l’indifférence totale. L’augmentation qui est constatée est substantielle comme on peut le remarquer ci dessous :
-Le prix du sac de 50 kg de sucre est passé de 8 000 Ouguiyas en décembre 2009 à 10 000 Ouguiyas en Juillet 2010 et à 12 100 Ouguiyas en novembre 2010,
-Le bidon de 20 litres d’huile de cuisine de 5 600 Ouguiyas en décembre 2009, à 6 350 Ouguiyas en Juillet 2010, puis à 7 500 Ouguiyas en novembre 2010,
- Les 50 kilogrammes de blé de 3 400 Ouguiyas en décembre 2009, à 4 400 Ouguiyas en Juillet 2010 et à 6 000 Ouguiyas en novembre 2010,
- Le sac de lait en poudre est passé de 21 000 Ouguiyas (UM) en décembre 2009, à 29 000 UM en Juillet 2010 puis est revenu à 27 000 UM en novembre 2010,
-Le prix du sac de 50 kg de sucre est passé de 8 000 Ouguiyas en décembre 2009 à 10 000 Ouguiyas en Juillet 2010 et à 12 100 Ouguiyas en novembre 2010,
-Le bidon de 20 litres d’huile de cuisine de 5 600 Ouguiyas en décembre 2009, à 6 350 Ouguiyas en Juillet 2010, puis à 7 500 Ouguiyas en novembre 2010,
- Les 50 kilogrammes de blé de 3 400 Ouguiyas en décembre 2009, à 4 400 Ouguiyas en Juillet 2010 et à 6 000 Ouguiyas en novembre 2010,
- Le sac de lait en poudre est passé de 21 000 Ouguiyas (UM) en décembre 2009, à 29 000 UM en Juillet 2010 puis est revenu à 27 000 UM en novembre 2010,
-Le sac de farine de blé dont le prix était de 5 800 UM en Juillet 2010, est vendu à 8 100 UM en novembre 2010.
- Le carburant aussi Le prix du litre d’essence est passé de 334 ,9 à 340,4 ; celui du gasoil se vend à 276,8 au lieu de 272,5.
- Le carburant aussi Le prix du litre d’essence est passé de 334 ,9 à 340,4 ; celui du gasoil se vend à 276,8 au lieu de 272,5.
Le rythme de cette hausse est de plus en plus exponentiel : en moins de deux mois, le prix de ce produit de base a connu trois augmentations, soit huit hausses en une année.
Elle a suscité l’inquiétude des usagers qui se plaignent déjà de la cherté de la vie, à cause de ses répercussions sur le prix des produits de première nécessité et du transport urbain. Une autre augmentation de cinq ouguiyas avait été ajoutée au prix de ce produit précieux au mois de mars dernier, dans pays où le seuil de la pauvreté est estimé à 46%.
La hausse fait suite à une augmentation de 50 % de certains taxes et impôts sur les véhicules, comme la vignette. Elle fait également suite à l’augmentation du coût du dédouanement des voitures d’occasion.
Source:Le Véridique (Mnie)
Elle a suscité l’inquiétude des usagers qui se plaignent déjà de la cherté de la vie, à cause de ses répercussions sur le prix des produits de première nécessité et du transport urbain. Une autre augmentation de cinq ouguiyas avait été ajoutée au prix de ce produit précieux au mois de mars dernier, dans pays où le seuil de la pauvreté est estimé à 46%.
La hausse fait suite à une augmentation de 50 % de certains taxes et impôts sur les véhicules, comme la vignette. Elle fait également suite à l’augmentation du coût du dédouanement des voitures d’occasion.
Source:Le Véridique (Mnie)