La consommation de gombo (hibiscus esculentus) aide à soigner les maladies cardiovasculaires, en réduisant le cholestérol sanguin, a annoncé vendredi à Dakar le nutritionniste Salimata Wade.
Des médecins ont constaté une baisse du taux de cholestérol chez des patients souffrant de maladies cardiovasculaires, a dit Mme Wade lors d’un colloque sur "les plantes alimentaires, médicinales et cosmétiques en zone sahélienne". Elle avait recommandé à ses patients, par l’intermédiaire des médecins, de consommer du gombo bouilli.
"L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévoyait qu’en 2010 les maladies cardiovasculaires seraient les causes majeures de décès. La prévention s’impose et dans cette prévention, l’abaissement du cholestérol sanguin et de ses fractions parait être parmi les premières indications", a rappelé Mme Wade, qui a participé à une étude sur l’effet du gombo chez des sujets atteints de maladies cardiovasculaires.
Des médecins ont constaté une baisse du taux de cholestérol chez des patients souffrant de maladies cardiovasculaires, a dit Mme Wade lors d’un colloque sur "les plantes alimentaires, médicinales et cosmétiques en zone sahélienne". Elle avait recommandé à ses patients, par l’intermédiaire des médecins, de consommer du gombo bouilli.
"L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévoyait qu’en 2010 les maladies cardiovasculaires seraient les causes majeures de décès. La prévention s’impose et dans cette prévention, l’abaissement du cholestérol sanguin et de ses fractions parait être parmi les premières indications", a rappelé Mme Wade, qui a participé à une étude sur l’effet du gombo chez des sujets atteints de maladies cardiovasculaires.
"Après avoir consommé du gombo, ces patients n’ont pas vu le cholestérol remonter aussitôt. Ils sont retournés à leur alimentation habituelle, qui leur avait redonné le cholestérol", a expliqué la nutritionniste, par ailleurs directrice de l’Ecole doctorale de nutrition de la Faculté des sciences et techniques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
"Il n’existe pas d’aliment bon ou mauvais. (…) Tout dépend de la façon dont on mélange les aliments", a-t-il fait savoir.
"Au Sénégal comme partout ailleurs, on a souvent tendance à mélanger le gombo avec de l’huile de palme. L’huile de palme en plus n’est pas un mauvais aliment. C’est l’excès fait un mauvais aliment", a-t-elle ajouté.
"Il n’existe pas d’aliment bon ou mauvais. (…) Tout dépend de la façon dont on mélange les aliments", a-t-il fait savoir.
"Au Sénégal comme partout ailleurs, on a souvent tendance à mélanger le gombo avec de l’huile de palme. L’huile de palme en plus n’est pas un mauvais aliment. C’est l’excès fait un mauvais aliment", a-t-elle ajouté.
Source: A.P.S. (Agence de Presse Sénégalaise)