
Qui sème le vent récolte la tempête

Point chaud est un marché de téléphones portables situé en face de la mosquée saoudienne de nouakchott. Il est le lieu de toutes les manœuvres d’achat et de vente des portables d’occasion ou neufs. Beaucoup des gens se sont lancés dans cette activité consistant à acheter, vendre et revendeur des portables. Il s’agit du monde des affaires au ‘point chaud’. Sous un soleil ardent, les vendeurs vous signifient avec un portable ou plusieurs dans la main qu’ils sont à vendre et même à prix très abordable.
On trouve dans ce marché, différents portables de marques distinctes qui sont de bonne ou de mauvaise qualité. En ce moment avec la montée en puissance de la chine et le succès que connaissent ses produits en Afrique, les téléphones portables de marque chinoise dominent dans les affaires du marché. Cette situation s’explique par le fait que les portables provenant de la chine sont moins coûteux que les marques occidentales qui dominaient autrefois dans le processus d échanges.
Point chaud est un marché mystérieux caractérisé par le nombre important des téléphones portables mis en vente et la façon dont les occupants les achètent et les revendent.
Quelque 60 facilitateurs ont démarré dimanche, à Tambacounda (est), un séminaire de recyclage, destiné à les rendre aptes à mener des activités de sensibilisation en langues soninké, pular et mandingue contre des pratiques comme l’excision et les mariages forcés.
Les bénéficiaires de cette formation devront servir dans les 50 centres que l’ONG Tostan, à l’origine de cette formation, compte ouvrir dans le département de Bakel.
Prévue pour quatre jours, la rencontre portera sur un module dénommé "Kobi I" (retourner la terre, en mandingue) et qui traite de la démocratie, des droits humains et du processus de résolution de problèmes. Cinq formateurs vont assurer l’enseignement du module.
"C’est le premier module du programme qui va être revu dans son ensemble pour être ensuite démultiplié au niveau des participants à la base dans les villages bénéficiaires", a expliqué le coordonnateur régional de TOSTAN, Thierno Diallo.
"Le module va durer 5 mois, et (…) sera suivi du Kobi II", a-t-il noté, précisant que le programme vient de démarrer dans le département de Bakel.
L'association Sooninkara Jiida organise ses journées culturelles à Foora Jaawara (Département de Kanel, Région de Matam, République du Sénégal) les 26, 27 et 28 Mars 2010.
Le programme est le suivant:
Le 26 Mars 2010 : Arrivée à Foora Jaawara
9h-18h : Accueil populaire des hôtes à Foora Jaawara.
21h : Réunion du bureau (présence obligatoires de tous les membres).
23h : Animation culturelle
Le 27 Mars 2010 : Installation des hôtes