Jeune, belle et passionnée, Binta Wagué l’est assurément. Sarakolé bon teint, elle est très pudique sur ses histoires d’amour. Elle est tout aussi gênée de parler des autres. Estimant qu’il est plus important de s’occuper de ses propres problèmes au lieu de juger les autres. Pourtant, jugée, calomniée, elle l’a été. On lui a prêté beaucoup de relations plutôt incommodantes. Pour vous, lecteurs de l’Observateur, elle a accepté de lever un coin du voile de sa vie. À vos marques…
Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir le journalisme comme profession ?
Bon, le journalisme, c’est un métier que j’ai toujours aimé. Depuis toute petite d’ailleurs, il m’arrivait même de m’enregistrer quand j’apprenais mes leçons. J’ai toujours voulu devenir journaliste. Sans forcément préférer la télé hein ! mais journaliste tout simplement, que ce soit presse écrite, radio ou télé, cela m’était égal. Et voilà ! le bon Dieu a exaucé mon vœu.