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L’association des élèves et étudiants de Diawara (Aeed) a organisé la première édition des journées culturelles de leur localité à Dakar du 29 avril au 1ier mai dernier. Ce rendez vous culturel a permis aux membres de l’Aeed en face des autorités locales et autres bonnes volontés de revisiter et d’échanger sur les causes, conséquences, enjeux et difficultés qui freinent le développement de Diawara. Ils ont ensemble proposé des solutions à ces problèmes économiques, sociaux, éducatifs, sanitaire entre autres que rencontrent les 2000 habitants de Diawara.
Les journées culturelles de Diawara tenues du 29 avril au 1ier mai dernier à Dakar resteront un bon souvenir pour les fils de cette contrée du département de Bakel. Une première dans l'histoire de Diawara qui s'est Tenues du 29 avril au 1ier mai dernier. L’association des élèves et étudiants de cette commune ont réussi à organisé « les 72 heures de Diawara ». Avec un programme riche en manifestations qui appellent à l’union des habitants de Diawara. Parmi les plus marquantes, des conférences, des activités pédagogiques et des divertissements. Oustaz Lassana Barry à animé une conférence autour du thème « la jeunesse face aux tentatives de la vie ». Le conférencier a invité les jeunes à avoir la foi.
Pape Diouf donne son sentiment sur l'affaire des quotas.
Un vrai micmac. Plus la désormais célèbre "affaire des quotas" est mise à jour, plus elle ressemble à un vrai sac de noeuds. Dernier rebondissement, la révélation de Mohammed Belkacemi, un cadre technique national chargé de défendre le football dans les quartiers, qui avoue avoir enregistré la fameuse réunion, point de départ de l'affaire. La FFF dans la tourmente, Laurent Blanc qui serait prêt à jeter l'éponge... Pape Diouf, ancien président de l'OM, analyse la situation tumultueuse qui bouleverse le football français.
Que vous inspire le scandale des quotas qui secoue le football français ?
Pape Diouf : Si le site qui a sorti cette affaire-là a un seul mérite, c’est d’avoir propulsé sur le devant de la scène un problème sous-jacent dont on avait fait l’économie, soit par commodité, soit par lâcheté, soit par simple désintérêt. Le vrai problème n’est pas de savoir comment Mediapart s’est procuré l’information. De toute façon, le propre du scoop, c’est d’avoir une gorge profonde. La question que je me pose, c’est pourquoi ce genre de question n’a jamais été soulevé alors qu’elle existe véritablement. Quelque part, je me suis presque réjoui que ce genre de choses soit aujourd’hui débattu.
Sur fond de racisme et de discrimination, les "quotas ethniques" évoqués par la Direction Technique Nationale, en charge des équipes de France, pose problème. Le football africain est dans sa majorité "surpris" voire "choqué". D’Alain Giresse à Rabah Saâdane en passant par Rabah Madjer et Amara Traoré, les principaux acteurs du continent témoignent.
Rabah Saâdane (ancien sélectionneur de l’Algérie - L’Equipe) : "Les Benzema, Nasri... choisiront toujours la France"
"C’est un faux problème. Ce n’est pas un danger pour le foot français. Au contraire, cela prouve sa richesse. Les joueurs que l’on récupère sont des joueurs qui sont bloqués en France, qui n’ont pas la possibilité de jouer en A. Les joueurs exceptionnels comme Benzema, Nasri se décideront toujours pour la France, car c’est une sélection attractive qui peut leur permettre de devenir une star mondiale."
- Antar Yahia (capitaine de l’Algérie - FootAfrica365) : "Domenech a bien couru derrière Higuain"
"Quand on regarde l’équipe de France, on se rend compte que des joueurs d’origine maghrébine et africaine, il y en a pas mal. Ce n’est pas non plus un mouvement massif de retour vers les pays d’origine. Lilian Thuram a très bien dit les choses. Benzema, Nasri ou M’Vila jouent avec la France. Domenech a bien couru derrière Higuain et, à ce que je sache, il n’avait jamais été formé en France. Et puis, il ne faut pas oublier les joueurs qui ont été bloqués en ne faisant qu’une sélection dans leur vie et qui n’ont plus jamais joué derrière. Au final, la France s’y retrouve bien. Elle n’est pas non plus pillée. La formation française est reconnue mondialement. Quant à l’Afrique et à la France, qu’on le veuille ou non, l’histoire nous lie. Elle est commune. C’est ainsi, et ça rentre dans un processus de mondialisation du football."
INTERVIEW EXCLUSIVE - A quoi ressemble l'entraînement des Navy SEALS ? Réponses avec Stephen Templin, qui a survécu à la «Hell week»...
Dans la nuit de dimanche à lundi, des membres de la Team Six, un commando d'élite des Navy SEALS, ont logé une balle dans la tête de Ben Laden. Ce n'est pas la première fois que la CIA fait appel à ce groupe, dont l'existence-même est entourée de mystère.
En octobre 1993, 160 soldats américains se retrouvent pris au piège de la Bataille de Mogadiscio (relatée dans la Chute du Faucon noir). Au sein de cette joint task-force, se trouvent plusieurs membres de la Team Six, dont Howard E. Wasdin, un sniper qui reviendra de l'enfer somalien blessé aux deux jambes. Il raconte son expérience dans ses mémoires (*), rédigées à quatre mains avec Stephen Templin. Ex-membre de la Navy, Templin a traversé les épreuves de sélection des SEALs aux côtés de Wasdin. Il a survécu à la Hell week, la semaine la plus intense, avant d'opter pour une autre carrière. Pour 20minutes.fr, Stephen Templin apporte un éclairage sur cette unité aussi secrète que mythique. Où comment de simples hommes sont façonnés pour devenir l'élite du contreterrorisme américain.