
La vie économique et sociale du pays est paralysée par des difficultés auxquelles sont confrontées les populations telles que :
A la suite de la Table Ronde pour la Mauritanie à Bruxelles en juin 2010, le Quotidien de Nouakchott recueillait dans une interview exclusive les impressions d’un des participants Idrissa M. Diabira, un franco-mauritanien Directeur-Associé du cabinet Interface Africa.
Il nous faisait alors part de son optimisme pour le développement économique de la Mauritanie et en appelait au « temps de l’action ». Nous l’avons retrouvé près de 6 mois plus tard dans l’action, mais à Nouakchott cette fois, en plein montage d’une « opération » économique et sociale : Taxi Zeina. Son optimisme d’alors a-t-il résisté à la réalité mauritanienne ? Sans langue de bois, il nous répond.
Alors M. Diabira, quelques mois après la Table Ronde avez-vous pu concrétiser un projet ici ?
(Sourires) Vous savez… parmi les qualités qu’on nous connait, ne figure pas celle de la précipitation. Et c’est heureux pour notre crédibilité comme pour les projets que nous concevons.
Marine Le Pen joue l’intox. Et ça marche. En dénonçant les prières dans la rue, elle agite les peurs et convertit à sa foi "nationale" de nombreux naïfs. Mais de quoi parle-t-elle au juste ? Décryptage. Marine Le Pen n’a eu de cesse depuis plusieurs mois de pointer du doigt « l’occupation » des Musulmans par la « visibilité conquérante » des prières dans la rue. Mais qui peut croire que prier l’hiver à même le trottoir est une partie de plaisir ? En fait, Le Pen relaie une polémique née sur le web et relayée par des sites d’extrême-droite ou s’approchant, comme celui de Français de Souche ou Debout la République, le parti de Nicolas Dupont-Aignan. Qui ont pointé du bras droit le quartier de Barbès à Paris (18ème), habitée par de nombreux musulmans en manque de lieux de prière. Et si la candidate à la présidence du Front National parle aussi de Toulouse, les causes ont là aussi les mêmes effets. Des lieux de culte insuffisants. Exemple typique à Marseille où une grande mosquée est d’ailleurs en construction et devrait interrompre les prières externes.